Les travailleurs de la mairie de Cotonoune sont pas restés à la marge de la célébration de la journée du 1er mai. Réunis autour du président-maire de la ville, ces travailleurs ont commémoré dans l’allégresse et la convivialité cette journée qui célèbre le travail chaque année. Autour de tables bien garnies les collaborateurs de Nicépohore Dieudonné Soglo, du plus petit au plus grand se sont régalés, mettant de côté un tant soit peu leur stress et pression quotidiens. Après l’installation du président-maire et sa suite, c’est le directeur des ressources humaines Jean Marc da Costa qui s’est en premier adressé à l’assistance. Dans son message de bienvenue, il a remercié les travailleurs pour tout l’effort qu’ils fournissent chaque jour pour accompagner les actions de développement entreprises par l’équipe dirigeante de la ville.

Il n’a pas manqué de rappeler les démarches en cours pour satisfaire aux revendications ‘’légitimes’’ des travailleurs. Ce fut après lui, le tour des différents secrétaires généraux des trois syndicats de la maison, de remettre à l’autorité, les cahiers de doléances. Prenant la parole après avoir reçu les revendications de ses collaborateurs, le président Nicéphore Soglo les a remerciés tous pour leur abnégation et ardeur au travail. Il a surtout rassuré de la disponibilité constante de son équipe et lui, pour leur offrir de meilleures conditions de travail. ‘’Je comprends vos inquiétudes’’ a-t-il dit avant d’ajouter ‘’ mais je voudrais vous dire que l’espoir est permis et que la situation de crise que traverse le monde actuellement et notre pays aussi, passera bientôt’’. Il n’a pas manqué de leur expliquer les difficultés de la ville notamment avec le blocage de ses ressources financières au niveau du trésor public.

Des difficultés qui annihilent ses efforts mais aussi ses ambitions de faire de Cotonou une ville moderne qui répond aux exigences du monde actuel.Il a fini en invitant les travailleurs à redoubler d’ardeur au travail pour que les défis qui sont les leurs soient relevés pour leur bonheur collectif.