Le ministre des Enseignements maternel et primaire, Eric Kouagou N’Dah, a prononcé son discours à la nation béninoise la veuille du lancement des épreuves écrites des examens du Certificat d’Etude Primaire. Occasion pour lui de remercier et de rassurer les enseignants, les parents d’élèves et les élèves sur la tenue effective des épreuves écrites du Certificat d’Etude Primaire (CEP) édition 2014.

 

 

Sur toute l’étendu du territoire national le lundi 23 juin 2014 à partir de 8 heures, les épreuves pratiques de l’examen du Certificat d’Etude Primaire (CEP) seront lancées. Pour l’édition de cette année, deux cent seize mille soixante et cinq (216 065) candidats dont quatre vingt dix huit mille cent quatre vingt huit (98 198) filles composent dans six cent soixante dix neuf (679) centres répartis sur toute l’étendue du territoire national. Dans son discours de lancement à la veille de cet examen, le ministre Enseignements maternel et primaire, Eric Kouagou N’Dah, a souligné que dans le souci de l’amélioration de cette performance et pour davantage rapprocher les centres d’examens des candidats, son département ministériel a pris certaines dispositions.

Il s’agit entre autres, du renforcement des capacités des enseignants pour un meilleur suivi des apprenants, la dotation en équipements modernes de certains établissements et l’actualisation de certains programmes de formation. « Mon ardent souhait est que le taux de réussite de cette année atteigne les 100% donc un KO. C’est pourquoi, je lance un appel aux candidats afin qu’ils soient sereins et sachent que les épreuves sont à leur portée. Il faut cependant qu’ils prennent le temps de bien lire et de comprendre ce qui leur est demandé », a-t-il confié.

Le ministre des Enseignements maternel et primaire, Eric Kouagou N’Dah n’a pas manqué de remercier le Chef de l’Etat pour la performance et la réussite du système éducatif béninois, sans oublié ceux qui sont la cheville ouvrière de l’école béninoise que sont les enseignants, les syndicalistes et les parents d’élèves. « Ils sont la cheville ouvrière de la formation et du suivi de nos candidats. Je sais que leur œuvre n’a pas de prix. C’est pourquoi le Gouvernement ne cessera jamais de les remercier et de les accompagner dans leur mission de construction des hommes de demain », a-t-il conclu.