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Cri de joie d’un petit travailleur tranquille de l’OPT/PTT d’entre-temps

Comment peut-on gérer une aussi grande société d’Etat, le BENIN TELECOMS SA, comme une épicerie ! BENIN TELECOMS SA, issu de l’éclatement de l’Office des Postes et Télécommunications (OPT) en deux entités distinctes et autonomes, est l’operateur historique des télécommunications au BENIN. De ce fait, elle est une société d’Etat dont la gestion a été confiée au Personnel qui y travaille. C’est une société à caractère purement commercial et à gestion Autonome. Tous les travailleurs qui y travaillent sont payés par les revenus générés par son exploitation. Les nobles travailleurs de BENIN TELECOMS SA sont conscients qu’ils n’ont pas le droit de demeurer herbivores car ils sont conscients qu’ils gèrent un patrimoine national et que toute gestion a pour but un résultat bien apprécié si bien qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire à leurs obligations quotidiennes. Mais pour certains dirigeants notamment les têtes, ils n’ont rien compris si bien qu’au lieu de se comporter comme des responsables ou des gardiens de la chose de l’Etat, je veux dire du patrimoine de tout le Bénin, s’érigent en patronat bouffeur, à l’image d’un circuit fantôme dans une installation électrique et mangent tout en herbe, quelque fois en complicité avec le gouvernement, d’autres fois, driblent le gouvernement pour le faire et laissent les miettes salées aux pauvres travailleurs qui souffrent tout le temps sans êtres félicités, Or le vrai patronat c’est l’Etat.

 Le DG Bénin Télécoms SA, devrait d’abord se considérer comme un pilote qui est chargé de conduire à bon port tout le paquetage ainsi que l’ensemble des voyageurs et au bout doit rendre compte au propriétaire du bateau. Au lieu de se comporter comme nos douaniers, gendarmes, policiers et militaires aujourd’hui qui se comportent comme s’ils n’ont pas de salaire et ne se nourrissent que des rançons, des fruits de corruptions, de détournements opérés sur les naïves populations.

Le président Boni YAYI n’a fait que renflouer la poche des hommes en uniforme malhonnêtes en déclenchant la lutte contre l’essence dit « Kpayo » tout en sacrifiant et en appauvrissant davantage les populations déjà souffrantes. Demandez à ces mauvais hommes en uniforme à quoi ont servi les quantités d’essence saisies, les fonds pris chez les contrebandiers et faites le bilan des dégâts mortels, matériels, moraux et financiers causés au préjudice de la nation ! C’était une parenthèse.

Le Bénin Télécoms SA dont tout le personnel confondu à celui de la poste était dénommé petit travailleur tranquille devenu évidemment gros travailleurs malheureux.

Le malheur de BENIN TELECOMS SA est né depuis l’avènement de l’affaire TITAN qui est un complot international des dirigeants pour faire subir de grosses saignées financières à la maison mère des Télécommunications et de toutes communications au Bénin, pour remplir leur propre poche, ce qui nous à conduit aujourd’hui à cette anémie sans pareille.

Depuis lors, nous ne vivons que de mauvaises gestions allant de mal en pire.

- Du temps d’AGNAN Barthélémy à Sanni Sabi Soumanou le mal a commencé par germer un peu un peu.

- Du temps de Sanni Sabi Soumanou à Goudohessi Sourou le mal a évolué.

- Du temps de Goudohessi Sourou à ADADJA Désiré le mal a galopé et ADADJA Désiré politique a asphyxié complètement BENIN TELECOMS SA tout en trompant mon grand frère YAYI BONI en se passant comme le Dieu des Télécommunications du Bénin. Où a passé le thème : « Bénin, quartier numérique de l’Afrique ? »

Il a utilisé sa ruse pour couper tous les réseaux GSM afin d’introduire un ancien ami comme cinquième Opérateur GSM pour une population de 9 millions d’habitant alors que la Chine avec plus d’un milliards d’habitants ne compte que deux opérateurs GSM. Il a en outre fait installer une autorité provisoire de Régulation des Postes et Télécommunications composée essentiellement des profanes en télécommunications (même pas un ingénieur) à sa guise pour etre Roi au pays des bognes. Mais Hélas !

La coupure des autres réseaux GSM qui devrait profiter au premier réseau GSM, Le libercom n’a pas été d’une utilité sereine pour BENIN TELECOMS SA et la nation Béninoise. L’extension du réseau n’a pas suivi. Au contraire cela a donné la force à un autre nouveau réseau GSM : Glo, exhibé de je ne sais d’où qui a utilisé et continue d’utiliser les installations de BTSA donc de Libercom gratuitement tout comme leur propriété privée.

« Quelle ignominie ! »

« Quel péché ! »

Heureusement que ADADJA est aujourd’hui au garage. Je lui souhaite bon repos.

Ne sachant que faire pour atteindre son but et s’amasser beaucoup d’argent, il a convaincu mon grand frère Boni YAYI, à croire que la privatisation de BENIN TELECOMS SA était incontournable. Vas-y-voir si ce n’est pas pour être clandestinement preneur ou pour s’amasser beaucoup d’actions ou parts commerciales ! Nos cris de détresse l’en ont empêché.

Du temps de ADADJA à BENON Patrick nommé DG de BENIN TELECOMS SA à 29 ans d’âge, sans aucune expérience professionnelle, sans aucun séjour de travail à BENIN TELECOMS SA ni ailleurs, nous avons connu une gestion purement hasardeuse. Dans le même temps, un secret de prospérité a loué celui-là qui gérait cette société qui s’écroulait .

« AGBAVIA !! »

Au finish, il remplit sa valise et s’en va (avec des biens et meubles de son domicile de fonction) en laissant la main à celui qui est son adjoint, l’heureux du jour, Urbain FADEGNON.

Ce n’est pas possible !

« Quel drame ! »

 Cela s’est passé sans bruit ni tapage (démission ou fuite ?) et comme pour raison : appelé à d’autres fonctions.

Aucune force ne l’a perturbé.

Aucun audit et aucune inspection n’a été faite.

Alors ! Quel pays !

Toute sa chance est que M. Rufin ADIGBONON, le fondateur du Syndicat National de BENIN TELECOMS SA (SYNABETEL), le secrétaire général redoutable valait ses droits à la retraite. Notre dynamisme syndical, notre courage syndical coloré par notre compétence professionnelle ont à tout moment écœuré l’administration de BENIN TELECOMS SA qui n’a cessé de nous opposer autres syndicats afin de nous 

mettre à la retraite avant l’application de 60 ans d’âge comme l’impose la loi aux personnels des Sociétés conventionnées. C’est pour cela que nous sommes partis à la retraite trop jeunes et regorgeant encore d’énergies et de compétences.

Nous voici à l’aire d’Urbain FADEGNON où l’image de BENIN TELECOMS SA est complètement ternie. La maison BTSA est vidée complètement de sa substance utile et aucun espoir ne se pointe à l’horizon.

Des missions intempestives à ne pas en finir, sans utilité pour l’entreprise et chaque fois en compagnie surtout des « femmes ». Aucun DG n’a voyagé autant dans le passé.

Profitant de sa complaisance et de sa faiblesse à ne pas pouvoir prendre des décisions et visant seulement à être confirmé Directeur Général sans effort personnel, le Ministre a nommé un directeur général-adjoint sans consentement préalable du directeur général actuel, sans recherche de compétence et d’expérience au préalable, totalement contre les textes et contre toute attente du personnel. Un événement qui a fait couler beaucoup d’encres et de salives. Cette nomination a été contestée tant par tous les cadres que tous les syndicats de BENIN TELECOMS SA sans exception aucune. Ceci avait bloqué pendant longtemps l’administration de la maison, puisque de commun accord, ils ont refusé tous d’assister à une réunion (n’importe laquelle) avec lui. La cour suprême en était saisie, le ministre également. Mais comme au bénin, l’autorité est permise de faire la sourde d’oreille, le ministre (homme aux cheveux blanc sali dont on peut savoir complètement fatigué, natif de Savalou tout comme un indiqué par ADADJA) n’en a pas fait un problème. Il se foutait pas mal de toutes ces réactions. Et comme Dieu sait faire ses choses, l’intéressé lui-même a commis de grosses bévues qui lui ont valu une suspension qui devrait donner un conseil au ministre Awèkè : “ le chef gère le consensus tout en restant conforme à la loi”

« Quelle honte ! »

- Dans la foulée des événements, le ministre de la communication des technologies de l’informations et de la communication, ne maitrisant rien des télécommunications, n’ayant jamais convoqué une réunion des directeurs centraux des télécommunications et des organisations de masse (syndicats) depuis sa nomination pour accorder ensemble un point de vue sur une affaire que ce soit, attribue unilatéralement une bande de fréquencee occupées par l’opérateur historique à un opérateur privé avant de demander aux cadres de Bénin Télécoms SA d’étudier les conditions de migration. Or, migrer n’est pas aussi facile comme cela. Cela demande beaucoup de temps et d’énormes dépenses. C’était tout comme fermer BENIN TELECOMS SA voir faire disparaître BENIN TELECOMS SA. La bande en question qui est celle utilisée par BTSA depuis plusieurs années est celle qui résiste mieux aux intempéries de la nature et économiquement plus rentable. La terre n’appartient-elle plus aux premiers occupants ? Dépouiller BTSA de tous ce qu’elle a de mieux pour le remettre aux multinationales semble être désormais notre devise au Bénin.

« Quelle aberration ! »

Comment une autorité entourée des conseillers régulièrement nommés peut mettre comme cela la charrue devant les bœufs ?

Cela fait honte à l’Elite Béninois.

Grace à la vigilance de certains cadres de BTSA cette décision a été gelée jusqu’à ce jour, puisque la terre appartient aux premiers occupants.

« ETE KA NIN ! »

Où est notre prestige ?

 Mais, a-t-il mesuré les conséquences graves qu’engendre une migration non programmée, surtout, connaissant la situation de délabrement total vécue dans la maison ? Car cela nous ferait perdre le peu d’abonnés qui nous reste.

Des travaux, préparés et réalisés sur insistance des cadres et des syndicats de la maison mis aux poubelles :Des journées de réflexion dont les travaux ont été préparés et réalisés par les cadres et les instances sur insistance des syndicats et sur proposition du SYNABETEL devraient servir de ciment pour le redressement de la maison. Les résultats de cet évènement aussi important qui a couté des millions ont simplement été rangés dans les tirroirs alors que c’était prévue pour baliser le chemin et servir de socle pour un nouveau départ dégagé de toute frustration et d’esprit d’incohérence.

Avantages des travailleurs bloqués

Mr FADEGNON Urbain n’a pas l’esprit de discernement. Dans tout ce qu’il fait, avec des missions intempestives, des dépenses inutiles, au vu et au su des agents de Bénin Télécoms SA, il bloque par surcroit les avantages des travailleurs. Jusqu’ici les travailleurs de Bénin Télécoms SA, ne connaissent pas encore, les 10% = 7%+3% accordés aux travailleurs du Bénin bien avant les 15% de revalorisation salarial que le Président Yayi BONI a accordé aux travailleurs du Bénin, échelonnée sur trois ans, soit 5% en 2011, 5% en 2012 et 5% en 2013.

« ANI KA NIN ! »

« AKPAVOU WOMBIA ! »

On dit que BENIN TELECOMS SA est conventionné, que les travailleurs de BENIN TELECOMS SA vivent en convention collective !

Allez voir leurs salaires, le salaire des hauts techniciens par rapport au salaire des travailleurs de la SBEE qui sont des simples technicien parce qu’ils ne traitent que le courant électrique. Or BENIN TELECOMS SA c’est : Parole- courant-Parole.

Encore que nous produisons notre propre courant électrique lorsque la SBEE déconne, comprenez bien que le courant qui est au milieu de la parole ici, n’est pas du courant électrique : c’est la haute technicité qui prend la parole, la transforme et la porte aussi loin et jusqu’où est son destinataire. Ce n’est pas facile comme le courant électrique ;

A BENIN TELECOMS SA, le laisser aller, le manque crucial de rigueur de la part du DG fait que :

-le patrimoine même est incontrôlé : un directeur, un chef division, ou un chef section en allant à la retraite part aisément avec les matériaux de bureau : micro ordinateur de bureau et portatif, onduleurs, rideaux, ventilo, climatiseurs, meubles, tapis, postes téléphoniques, télévision, pot de fleurs, réveils, gravures et consort…

Or la maison regorge plein plein plein d’inspecteurs techniques et beaucoup trop d’auditeurs.

« AKOBA ! ADABA ! »

Mais à quoi servent tous ceux là ? Si ce n’est que des contrôles de retard que pouvait faire les chefs service ! Ces-dits auditeurs ont eu leur formation où ?

 « Ahovi Kan mansa ! »

 Allez y voir des diplômes « gblèlèlè », frelatés pour la plus part, en pile chez les-soit disant jeunes ! Des diplômes obtenus à coût d’argent et rien d’autres, sans cursus. Des cours non suivis dont on détient les diplômes ! Des nominations à des postes sans pré-requis

Des nominations jamais vu dans ma vie, où les E (agents d’Exécution) commandent les C (agents cadres) et les M (agents de Maitrise).

C’est quoi ça ? A quoi sert alors la convention collective ?

On dirait qu’on nomme les gens quand leurs noms passent à la tête !

On oublie que ici ce n’est pas comme on donne un nom à un nouveau-né mais c’est dédier une haute responsabilité, une grosse tâche à quelqu’un qui doit en avoir le niveau, la compétence, l’expérience nécessaire, plein d’esprit d’initiative, entrepreneur et entreprenant, rigoureux, sage, poli, qui sait commander, qui peut bien contrôler tous les agents à lui être soumis, plein d’esprit de discernement, non vicieux, correct, connaissant la valeur du rendement, qui sait comment avoir un bon résultat, qui cherche a tout moment à être félicité. Justement les nominations sont des décentralisations du pouvoir.

A Bénin Télécoms d’aujourd’hui on distribue des postes de responsabilités comme on distribue des pains aux frères et aux amis. On faire la promotion des ignares et immatures.

« Etè ka dié ? »

Le service diffère de la famille. Au service on doit gérer les compétences réelles et non la camaraderie. Les vrais amis d’un Directeur Général, ce n’est pas le cul, les frères, mais ceux qui travaillent bien pour l’aider à atteindre son résultat, le bon résultat, un résultat probant qui fera prospérer Bénin Télécoms.

Malheureusement le Bénin de KEREKOU est entrain d’être passé à l’oubliette :

KEREKOU a dit :

Non à la gestion de la camaraderie dans la gestion des grandes tâches de la nation !

Non au Népotisme !

Non à la démagogie !

La patrie ou la mort !

Non au régionalisme dans la répartition des postes, dans les nominations qui ne sont autres choses que des mérites pour les nommés avant d’être pour eux des promotions.

Mais qu’est-ce qui se passe réellement ?

« KOHI !!!! »

Tchaourou est devenu la commune la plus peuplée du Bénin.

La télévision est devenue notre champ de coton.

Les Burkinabès se moquent de nous en disant qu’eux autres produisent leur coton au champ, mais chez nous, nous produisons notre coton à la télévision !

« Tcha ho ho ! Quelle injure ! »

Bientôt nous allons produire du coton seulement avec des prières à la télévision.

« Hocloho ! Goko ! »

« Noudévo dogbé do tomè ito ! »

Comme le disait l’autre : (par rapport au monument de l’étoile rouge) Jacob descend avec ta houe, car la terre c’est en bas !

« KAÏ ! » Ce qui se passe en bas est comme ce se passe en haut

« ÔHôô ! »

- Le Ministre de la communication des technologies de l’information et de la communication est de Savalou

- Tout son Cabinet de Savalou et surtout rien que des retraités croulants

- Le Président du conseil d’Administration (Gbaguidi..) est de savalou

- Le DG BENIN TELECOMS SA est de Savalou

- Chef Division de l’Approvisionnement et du Matériel de BENIN TELECOMS SA est de Savalou (Gbaguidi..)

- Chef des auditeurs de BENIN TELECOMS SA de Savalou (Gbaguidi..)

- Chef inspection de BENIN TELECOMS SA de Savalou (Gbaguidi..)

- DG Libercom de Savalou

AMOU WA E NIN !

Mr Isidore DEGBELO, le soit disant DG Libercom, fraichement nominé, a fait quoi pour mériter ce poste ?

Depuis qu’il est en tête de Libercom, que fait-il réellement de bon pour le faire prospérer ? Mon premier Réseau GSM au Bénin, est aujourd’hui équipé à moins de trois cent mille (300 000) abonnés pendant que les autres, surtout le tout dernier et usurpateur du patrimoine de BENIN TELECOMS SA (Greffé gratuitement sur les installations de BENIN TELECOMS SA) est à des millions d’abonnés ?

Un Isidore DEGBELO qui n’a même pas l’esprit de collaboration :

Demandez lui combien de fois il a fait de réunion avec ses sous-directeurs, ses collaborateur direct, ses Directeurs !

Qui ne connaît pas l’histoire de tant de fausses factures combinées à Libercom !

Comment peut-on vendre et clandestinement des cartes de recharges à crédits à un Master à concurrence de 10 000 000 de francs non remboursé,

Demandez-lui quel est le chiffre d’affaire de Libercom aujourd’hui !

- Des missions, des tournées non accomplies, mais payées au non de ce qu’on n’est chef.

« Tchoukoui ! »

Chers lecteurs, Pourquoi nomme-t-on alors quelqu’un DG ou chef si ce n’est pour un résultat ?

Devrions –nous entretenir un tueur d’entreprise ou plutôt un promoteur d’entreprise.

Non, non et non.

Et le ministre de la communication

Et le Directeur Général de Bénin Télécoms SA

Et le dit Directeur Général de Libercom doivent être limogés avant qu’il ne soit trop tard, au risque d’atteindre le sommité de la médiocrité de la communication au Bénin.

Manque-t-il si tant de cadres à BENIN TELECOMS SA ? Je dis non. Le Bénin Télécom SA regorge de beaucoup de cadres capables de faire du beau travail et surprendre agréablement avec un redressement rapide. Mais il faudrait savoir les rechercher, les retrouver, non par amitié, non par le régionalisme, non par la camaraderie politique, non par un concours, mais sur la base d’enquête que connaît bien mon Syndicat le SYNABETEL, ou bien rapprocher vous de moi, car je connais tous les cadres de BTSA au bout de mes doigts pour avoir fait trente (30)années effectives de carrière et parti à la retraite Haut cadre de Bénin Télécoms SA et félicité pour les services loyaux que j’ai su rendre à toute la nation Béninoise sans être décorée puisque la décoration même au Bénin c’est pour les amis intimes. 

Un Réseau GSM d’Etat doit être un réseau gouverneur un réseau d’exactitude, et non un réseau où tous les abonnés cherchent où retrouver le signal à tout moment.

Un réseau privé ne saurait dominer un réseau d’Etat sinon à quoi sert-il de gouverner ?

Le réseau Libercom, le premier réseau GSM qui devient le dernier réseau GSM. C’est très très grave, car mon réseau est gouverneur, doré et nikel.

Oh là là !!! encore un réseau d’Etat !Dégbélo est un très très mauvais cadre de Bénin Télécoms SA. J’en connais de cadres à BENIN TELECOMS SA pour relever en un an Libercom et le placer au rang des Grands Réseaux GSM.

« Tchigui ! »

Si jamais, jamais, on entreprend une privation de Libercom avec ce Monsieur Isidore Dégbélo, tout le Bénin va regretter : même le Président, le Docteur Thomas Boni Yayi.

 Je vous dit au passage à qui veut l’en croire que le Roi Tosso Gbaguidi est mon ami particulier. Mais ses frères qui sont dans mon sillage ne le ressemblent guère. S’ils étaient à sa place, au lieu de jeter de l’argent dans la foule pendant les cérémonies sans savoir celui qui le ramasse pour en faire sa propriété, ils allaient simplement mettre l’argent en jeton et en billets en question dans leurs poings sans les ouvrir et faire semblant de les jeter après en avoir accroché à leurs chapeaux et demandé clandestinement à certains de leurs frères et amis : venez prendre un peu et je m’occupe du reste.

« NAN BLO INTE ! »

Quels frères gourmands et racistes !

 Parlons peu, parlons-en, dans une logique de redressement d’une entreprise en faillite, totalement chiffonnée sous l’œil du gouvernement, le propriétaire, l’on doit réduire les charges et savoir invertir dans le commercial et faire de peau neuve pour l’entreprise. Mais le DG BENIN TELECOMS SA à l’image de son frère Kokou ADADJA n’a rien compris. Pendant qu’on criait que l’ancien organigramme de bénin télécoms SA regorgeait de trop de directions, de chefs de division et de section, il va sortir on ne sait d’où un nouvel organigramme fantôme qui crée d’avantage du pléthore de directeurs, de division et de section.

C’est quoi ça ?

C’est de l’organigramme du pléthore qu’a besoin bénin télécoms SA pour se développer ?

Un organigramme non sens ! On dirait que bénin télécoms SA n’a pas de comité de direction ! Mais dit-moi, si même le comité de direction est contourné !

Alors là !

Encore qu’on a la chance que les derniers départs à la retraite ont drainé assez de monde sans un recrutement compensatoire, l’on doit gérer méthodiquement le reste pour eu tirer le maximum de profit pour les travailleurs de la nation béninoise car, nul n’a le droit de confondre sa poche avec les caisses de l’Etat.

Ce n’est pas une raison d’avoir des sections où il n’y a que le chef section sans autre agent.

L’organigramme du pléthore du DG de BTSA ne sachant ce qu’on appelle contraction des structures a fermé le développement des Télécommunications à la base au bénin. Si non comment fusionner quartes département pour en faire un seul service régional des télécommunications SRT ? Deux départements ensemble étaient difficiles à gérer comment quatre ensembles serait facile à gérer ? Nous ne sommes pas encore aux Etats Unis ni en France où on met tous les moyens en branle et l’ordre passe comme un coup de fil vers Londres. Avec cette étendue de responsabilité, quelle sécurité garantissons-nous à nos installations externes : les câbles et les fibres optiques entre ville et consort. Puisque depuis l’avènement du nouvel organigramme, la coupure de la fibre optique ci et là, le vol de câble souterrain ci et là a connu une recrudescence. Que fait-on réellement pour parer à cela ? Demandez aux SRT actuels combien de fois il souffrent et quels sont les nouveaux moyens mis à leurs disposition. J’appelle cela fermer le développement à la base. Ce n’est pas comme cela que l’on doit résoudre le problème de pléthore de responsables. En plus, on commence par numéroter ou à baptiser les SRT à partir du Nord. A quoi sert donc le capital qui est le chef lieu de la république et qui doit être la référence du pays et pour mieux dire, le miroir du pays ?

Dieu de Bon sang !

On dit :

SRT zone A : Atacora-Donga-Borgou-Alibori

SRT zone B : Zou-Colline Mono-Couffo

SRT zone C : Ouémé –Plateau Atlantique-Littorale

Avec cette étendue de responsabilité, quelle sécurité garantissons-nous à nos installations externes : les câbles et les fibres optiques entre villes et consort ?

Puisque depuis l’avènement du nouvel organigramme la coupure de la fibre optique ci et là, vol de câble souterrain ci et là a connu une recrudexence ? Que fait-on réellement pour parer à cela ?

« Ça c’est quelle logique ? »

« C’est de la foutaise ! »

La zone A doit être celle qui contient la capitale du pays et mieux Cotonou.

J’en passe…..

A quoi sert une direction coordinatrice des SRT ? Ne pouvait-on pas soumettre les SRT au DT ou au DG-A pour une bonne réduction des charges ?

Pourquoi si tant de sous-directions ? Vraiment, à quel jeu joue Urbain Fadégnon et Awèkè Max, un duo Savaloi avec ADADJA dans l’ombre auprès de mon frère Thomas Boni YAYI ?

Fadégnon Urbain, Awèkè Max, ADADJA Désiré= Trio Madjessi de Savalou

Mais ça veut dire quoi ?

C’est comme si la maison BTSA n’a jamais existé avant la nomination de Urbain FADEGNON. On aurait tout vu dans ce pays

Rien ne nous oblige à créer tant de sous directions, car après les directions, il y a les divisions et sous les sous divisions, il y a des divisions qui commandent directement les agents.

Dites-moi : quelle est la valeur d’une division placée sous un sous-directeur par rapport à celle placée sous un directeur ?

« C’est de la salade pure ! »

« Du n’importe quoi ! » 

Si tous les chefs de divisions ont les mêmes avantages et c’est bien cela, ce n’est pas la peine de créer des sous directions encore que ces sous directeurs bénéficient presque des mêmes avantages que les directeurs.

Où est donc la réduction des directions, voire des charges ?

« Quel blasphème ! »

Qui veut tromper qui ?

Après avoir nommé à ne pas en finir, des nuls comme des chefs division parce que amis de la famille et camarades ou copins-copines, on met des thèmes comme analystes Sénior à rang chef division, tout comme si nous étions dans un système de football. Même en sport, c’est parce qu’il a junior qu’il y a senior pour faire simplement la différence entre les anciens et les nouveaux (jeunes)

Quel organigramme !

Il n’y a pas d’analyste junior, mais c’est quoi ici le sénior ?

Est-ce que ces mots sont administratifs ?

Ah ! quelle administration !

On aurait tout vu avec FADEGNON

Ce n’est pas demander une messe d’action de grâce au Président de la République qui veut dire faire prospérer BENIN TELECOMS SA ! Encore que tous ceux là qui demandent de messe d’action de grâce pour le Président le trompent pour bouffer, car d’où ils obtiennent les sous pour supporter l’évènement ? Le Président YAYI BONI n’a pas besoin de ces « m’as-tu vu » Non. Déjà, tout le peuple prie pour lui ; tous les dimanches, toutes les églises prient pour les dirigeants de ce pays dont YAYI BONI. A quoi sert donc ces dépenses inutiles, toutes les pertes de temps inutiles, tous ces chantages ! Tous ces encombrements de nos écrans de télévisions qui nous empêchent de suivre de bonnes informations. Je crois que nous n’avons pas encore assez de moyens pour faire du Bénin une monarchie surtout que les autres pays qualifient mon beau pays de mendiant.

Cessons les inutilités, les tromperies et allons y à l’essentiel.

KEREKOU a entonné la chanson : ‘Retroussons les manches, plions les pantalons pour construire le pays’ tout cela la main dans la main, sans rancune et sans règlement de compte.

J’en passe…..

Le PDG de CAJAF COMON, Mr ADJAVON Sébastien, a fait des centaines d’hectares de culture de produits vivriers sans tapage, sans s’en vanter une seul fois à côté du poisson et de la viande qu’il sait donner à manger aux populations

Quel nourrisseur de la nation béninoise !

Revenons à nos moutons !

FADEGNON a gonflé l’effectif des directeurs, des chefs division, des chefs section……

Il a fermé le développement des Télécommunications à la base en coinçant quatre départements ensembles !

Pire, après cette célèbre satisfaction à son ambition égoïste et de celles de ses parrains et poulains, il a, par règlement de compte, laissé beaucoup d’agents dont je reconnais la bravoure et le dévouement. Il a descendu à tort ou à raison plusieurs cadres qui sont aujourd’hui sans bureau, sans tâche, non soumis à une hiérarchie non licencié et qui perçoivent leur salaire régulièrement.

Surtout qu’il ne dise point qu’il n’y a pas d’argent dans la maison.

Même, quelque soit la politique d’exclusion que l’on veuille faire, chaque agent devra être utilisé pour valoir son rendement sur la base duquel l’on doit le payer, surtout que BENIN TELECOMS SA est une société à caractère commercial et ne vit que de ces propres ressources.

Si même un agent commet une faute, on le sanctionne et on le met vite au travail ou bien on le remplace sur la base de procès verbaux d’irrégularité si ses explications ne sont pas convaincantes .

Mais le laisser en l’air libre sans l’utiliser et continuer de le payer est un crime contre la personnalité et contre BENIN TELECOMS SA voire toute la nation béninoise. C’est ruiner la maison BENIN TELECOMS SA, car sur quelle base celui qui ne fait rien est payé.

Je veux citer les gens comme :

- HOUESSINON Victor, chef de la cellule communication voir le marketing/ un brave agent, dévoué à la tâche, connaisseur, dynamique et entreprenant ;

- Mme DADELE Evelyne secrétaire administratif de BENIN TELECOMS SA descendue de son poste à cause d’une futilité mensongère générée par une coquine de FADEGNON Urbain alors que l’intéressée étais en congé administratif. Elle est en l’air sans bureau et sans tâche alors que c’est un agent dévoué prêt à se sacrifier pour le travail ;

- Mr ADJAKOSSA Vincent précédemment Chef Section Gestion des Stocks dont je connais la compétence, le dynamisme, le dévouement et sincérité.

- Basilia KOUKOUI

- Beaucoup d’autres agents en l’air

- D’autres agents ne se retrouvent pas dans leurs tâches car leurs rôles n’est pas bien défini. Or beaucoup de structures souffrent d’agents.

Mais pourquoi pas un redéploiement simultané avec les nouvelles nominations du fait d’un nouvel organigramme qui d’ailleurs est tronqué et bancale entaché de beaucoup de conflits d’attribution.

Je me demande quelle a été l’appréciation du comité de direction à l’apparition d’un tel organigramme ! Qui et qui ont été donc associés pour son élaboration ? Ou bien, leur a t-on tous cousu la bouche et bandé les yeux avec de l’argent ou des promesses de postes juteux ?

Quel Désordre !

A Bénin Télécom SA où le DG a au moins trois conseillers nommés, je me demande s’il demande leur avis sur certaines choses avant d’agir ! Se laisse t-il conseiller ? Je sais qu’il sait dribler tout le monde pour faire ce qu’il veut faire ! Je reconnais sa faiblesse à collaborer avec les hauts cadres par complexe et ne se pointe que sur la dictée qui vient d’en haut sans analyse préalable avec ses collaborateurs pour décider de ce qu’il doit faire. Aussi, il ne sait pas prendre de décisions et devant un dilemme, il ne sait qu’exécécuter les ordres de ses supérieurs hiérarchiques .

Beaucoup doivent à BENIN TELECOMS SA et par surcroît, on interdit de les harceler, que ce sont les gouvernementaux. Un responsable doit savoir gérer la crise ou il peut tout au moins démissionner. Exemple :

-La mairie de Cotonou doit à BENIN TELECOMS SA des milliards. Mais le DG harcelle le Directeur Financier de vite faire payer les factures des patentes à la mairie pour notre parking de véhicules devant la Direction Générale de BENIN TELECOMS SA

Pourquoi ne pas faire des compensations ?

-La société Bell Bénin nous doit des milliards. Pourquoi ne pas négocier avec elle en cette période où nous avons besoin de l’argent aussi peu que cela soit ? Si même la négociation échoue, que fait alors la justice pour nous faire rentrer en possession de nos fonds ? Mais est-ce que vraiment il y a eu négociation ? Parce qu’une bonne négociation vaut mieux qu’un procès qui profite aux juges. Mais si même, l’on doit pénaliser le Réseau BBCOM, pourquoi pénaliser nos abonnés fixes et mobiles ? Puisqu’on a coupé le lien entre BENIN TELECOMS SA et BBCOM : un abonné du réseau fixe ou du réseau mobile ne peut plus appeler un numéro BBCOM et vis versa. Du coup, il en résulte une diminution drastique de notre propre trafic et donc des revenus de Bénin Télécom 

Quelle incompétence !

Quelle bassesse !

J’en passe……

Maintenant, tout comme le passé n’a pas suffi pour faire prendre conscience, a Mr Max Awèkè, il nomme encore par arrêté un nouveau DG-A, un jeune sans expérience de 34 ans parce qu’il est natif de Djougou ou bien comment ? Or cela devrait se faire sur proposition du DG et après avis du conseil d’administration de BENIN TELECOMS SA en plus de ce que l’intéressé devrait avoir fait au moins dix ans dans la maison BENIN TELECOMS SA comme travailleur selon nos statuts.

Quelle merde !

Mais quel avenir veulent les dirigeants politiques de la maison pour laquelle j’ai sacrifié ma vie jusqu’à créer un syndicat ?

Allons-nous de l’avant ou de l’arrière ?

Qui peut me dire aujourd’hui comment va le flux financier de Bénin Télécom SA ?

Mr FADEGNON Urbain a complètement fait dos aux réunions de trésorerie qui permettent d’assurer la gouvernance financière de la maison, ce qu’il a tout au moins hérité de Bénon et de tous ses prédécesseurs. Pas une seule réunion de trésorerie depuis bientôt trois (03) ans et pourtant il fait des dépenses et des recettes tous les jours.

Comme vous le savez, tout ne saurait être mauvais en l’homme. Même aussi mauvais que soit l’homme, il faut savoir en tirer ce qui est positif, car en l’homme il y a la bonne semence de Dieu. Mais as t-il oublié sa leçon ? Ou bien, c’est pour faire ce qu’il veut des finances de BENIN TELECOMS SA ?

 Je propose un bon audit à la gestion de FADEGNON Urbain et des auditeurs de taille qui doivent associer le SYNABETEL. Si je dis bon audit, il ne s’agira pas simplement de ressortir un montant détourné ; mais de faire ressortir les manques à gagner générés dans l’irresponsabilité dans son comportement comme dans ses actes. L’audit doit pouvoir juger sa capacité de gérer et voir son karma, bref voir et fouiller de font en comble sa manière de gérer et rendre compte fidèlement au chef de l’état qui saura prendre la décision qui s’impose car le chef de l’Etat veut j’en suis sûr l’émergence de BENIN TELECOMS SA qui est une machine à sous pour la nation béninoise s’il est bien géré. Car la mauvaise gestion peut tuer entièrement une société.

Le ministre Awèkè doit être un peu mis de côté parce que un peu trop vieux à voir même ses cheveux de sagesse, il devrait savoir s’éclipser pour permettre aux vaillants cadres de BENIN TELECOMS SA de choisir un brave pour prendre la tête du Ministère des Communications et des Technologies de l’information et des Communications afin que vive et prospère le Bénin tout entier, car communiquer c’est vivre ; et bien communiquer c’est bien vivre.

« Alléluia ! »

 Quant à Mr Isidore DEGBELO, je me demande si on a besoin d’audit pour le limoger de ce poste de DG qu’il ne mérite pas du tout. Car c’est un assassin de mon réseau Libercom dont tant et trop d’années qu’il a fait en sa tête, est entrain de faire du premier Réseau GSM du Bénin, le dernier.

Est-ce que, le DG FADEGNON connaît même ce qu’on appelle flux financier ?

Parce que les commerçants investissent sachant déjà ce qui en résulte. Mais est-ce que Urbain FADEGNON pense comme cela ? Car à BENIN TELECOMS SA, une société en faillite, on dépense seulement, missions intempestives, tournées inutiles, fête par ci fête par là.

Dans une maison qui regorge de cadres compétents, l’on vient greffer un inexpérimenté total aussi naïf qu’il soit.

Mais à quand la fin de la misère de BENIN TELECOMS SA ?

Je vous demande d’arrêter tout !

Faites une rétrospection vers les résultats des journées de réflexion et mettez en tête celui qu’il faut pour que le ministère de la communication prospère et en tête de Bénin Télécom SA, celui qu’il faut pour que l’entreprise BTSA émerge rapidement. Consultez-moi au besoin. Tant pis pour celui qui croit que je suis manipulé. Demandez depuis ma famille jusqu’à mon service, si je suis manipulable !

De toutes les manières, ce n’est pas de privatisation qu’a besoin Benin Télécom SA car c’est un gisement de richesse pour le Bénin, seulement il faut bien choisir un cadre de la maison qui s’y connait en tête pour faire sortir la richesse si non la politique tue tout chez nous et nous laisse trop de misère et nous ouvre tous à l’extérieur sans aucun autre moyen : c’est une autre forme de domination étrangère à la quelle on nous soumet.

 Pardon, arrêtez !

Pitié, arrêtez ! 

En avant la patrie !

Vive le Bénin émergent !

Ah bon entendeur salut !

Je vous remercie !

 

	Le fondateur du syndicat National de Bénin Télécom SA (SYNABETEL) et Président de l’Organisation Internationale pour la Prospective de la Famille (OIPEF)     Rufin ADIGBONON

 

 

 

 

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24 juin 2013 par Nouvel auteur