dimanche, 28 avril 2024 -

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L’IMPOSSIBLE NECESSITE OU LA MEPRISE qui sauve un Juste, Bon et Brave par la Rédemption du Crétin !

« L’Essence d’une Âme ne se transporte pas dans une autre sans se dénaturer »




Il est bien des choses qui sont « impossibles tant qu’on ne les a pas tentées. Une impossible nécessité… une MEPRISE QUI SAUVE ?! Pourquoi… ? …Il y a des actes qui sont si nécessaires mais tellement impossibles (en apparence seulement) à réaliser que, pour les accomplir, on soit obligé de Susciter une Méprise en Accroissant Dangereusement la Bonté (BONTE DIVINE ! Dangerously in Love !) Sinon c’est Une TRAÎTRISE DU CRETIN qui nécessite Rédemption, après Repentir actif et de Sincères Excuses Réparatrices !
Chers amis lecteurs, avant de commencer ce partage par le Bateleur (un symbole dont je vous expliquerai le sens plus loin), il est important d’illustrer nos « propos » par des images claires, facilement compréhensibles par tous !

Ainsi, il convient de vous proposer un exemple de « situation d’impossible nécessité » !

Alors voici : comprenez avec nous que parfois l’Amour rentre en opposition avec nos « viles exigences temporelles »… « Je t’aime de tout mon cœur » => Sublime Amour (le Cœur Divin) – Et je te donne tout ce que je possède pour te témoigner cet amour ! Mais, par contre, quand je ne dispose plus de ces nombreuses richesses que je t’ai promises au départ de notre amour, celui-ci se transforme en haine… Une haine Viscérale => « Je te déteste de toutes mes tripes » !
Je crois bien, chers amis lecteurs, que vous avez déjà décelé la petite nuance et la « Grande Opposition » que je veux faire ressortir à travers cet exemple que je n’ai point choisi au hasard.

Oui, le Cœur Aimant qui donne  Les Tripes (Viscères) qui réclament de quoi se remplir, et qui, si elles ne sont pas satisfaites, transforment le Sublime Amour en Haine Belliqueuse : Les Tripes (le ventre) contre le Cœur (La demeure de l’Amour Divin)… l’un comme les autres, cherchant à devenir le « Centre » de l’attention de l’Être !
Il s’agit pour chacun de nous, d’arriver à concilier la nécessité d’Amour que nous intime le Divin Créateur avec les basses exigences des viscères nous réclamant pitance !

Impossible Nécessité donc => Car on ne peut se nourrir d’Amour… Et pourtant si… L’Âme se nourrit de cet Amour ! Tandis que le Corps se maintient grâce au contenu des Viscères !

Voilà une « belle impossibilité nécessaire » qui nous interpelle ; c’est pour cette raison que j’ai souhaité commencer ce partage avec cet exemple qui parle de lui-même !

Tout est une question de Choix… Et j’espère que vous en avez bien conscience, puisque nous n’arrêtons pas d’évoquer ces « Choix Fondamentaux » depuis le début de nos partages : Viscères ou Cœur… Corps ou Âme… Présent ou Futur ?_§_ !
Après l’Impossible Nécessité, voyons ce qu’il advient de la Double-Traîtrise !

Et c’est ici que j’aborde le contexte défini pour mieux cerner cette question : La question de la Traduction, voire de la Retraduction, dont voici un exemple édifiant !

Un adage africain (Fon du Bénin) se traduit littéralement comme suit : « On ne procède pas de Sacrifice avec un Serpent vivant (car le sacrificateur risque d’être mordu) » => Idée de départ (1) !
Or, si un auteur voulait rendre la même idée dans la Langue Française, il sera confronté à deux problèmes de taille, de nature à rendre incongrus la compréhension de cet adage et de l’enseignement qu’on doit pouvoir en tirer : D’abord, le "Sacrifice rituel" qui n’est compris sur ces « terres civilisées » que par la « Donation de Soi », donc par l’Amour, et non par l’offrande d’un « animal », surtout un serpent encore vivant !

(2) Il s’agit donc pour le traducteur de trouver dans la Langue Française, un adage qui enseigne la même vérité avec des mots similaires ou proches ! Ceci dit, en voici un exemple :
« ON NE SE COUD PAS UN HABIT D’APPARAT AVEC LA MUE DU SERPENT » (car le "Vénérable Animal" pourrait s’inviter à la festivité, attiré par l’odeur de sa propre mue, risquant par sa présence remarquable d’indisposer les invités) !

Ce deuxième adage a l’avantage d’être aisément acceptable par la Civilisation Française qui ne connait ni de sacrifice rituel, ni d’offrande d’animal à une divinité pour obtenir ses faveurs, tout en étant plus au fait des questions de cérémonial, d’apparat et de mue du serpent !
La tâche est donc déjà très ardue pour le traducteur, car il a fallu chercher longtemps, très longtemps dans la Langue Française pour trouver l’adage le plus proche pour atteindre un résultat similaire à l’idée initiale !

Imaginons donc qu’il faille retraduire l’idée une seconde fois, de (2) à (3), de la Civilisation Française vers la langue africaine. On s’éloigne inévitablement du sens premier pour un résultat qui pourrait être complètement différent et biaisé, sauf si la retraduction a tenu compte de l’identité propre à l’adage initial et de son objectif d’éducation de départ !

En me mettant à la place du retraducteur, je me dois de vous exposer le résultat de son action : (3) « ON NE SE COUD PAS UN VÊTEMENT SACERDOTAL AVEC LA PEAU D’UN SERPENT » ! Soit !

Et ce qui induit ce sens nouveau, tient du fait que les contextes de l’apparat ne sont pas compris de la même façon dans les deux cultures. Là où le Français comprendrait « Festivités », l’Africain y voit des « Libations » ! Là où le premier comprend « Célébrations républicaines », le second n’y voit que « l’Eucharistie » car les "messes du dimanche" sont l’occasion pour lui de sortir ces « vêtements d’apparat » pour aller « se montrer » à l’Eglise !

Voilà la Double-Traîtrise dans toute sa splendeur : de « Sacrifice » on est passé à « Apparat » puis à « Célébration Sacerdotale », avec les conceptions que chaque étape se fait de « l’animal concerné » !
Chers amis lecteurs, de (1) à (3), je puis vous assurer que les cas de retraduction à plusieurs sens sont très courants. Tenez encore : « Le législateur ne doit jamais enfreindre sa propre loi », à rendre dans le langage africain (Fon du Bénin par exemple)… Je vous prie d’essayer la traduction puis une retraduction et vous verrez à quels résultats vous allez aboutir, en tenant compte de tous les aspects des deux cultures concernées, une vieille démocratie séculaire et un Etat néo-démocratique… d’à peine 20 ans, qui a fait suite à un grand royaume tribal et esclavagiste, où le Roi était tout-puissant !
Ces précisions préliminaires avaient pour objectif de baliser complètement le terrain avant de présenter tous les effets de la traduction et de la retraduction, des nécessités parfois impossibles pour le linguiste, l’amenant quelques fois à se comporter en « traître » quand au sens initial des idées !

Impossible Nécessité et Double-Traîtrise ! C’est le titre que le linguiste Tanguy KENEC’HDU a donné à son fameux traité sur les retraductions (comprenez traductions d’une première traduction). J’ai trouvé ce traité excellent car il m’a parlé, de même que l’ouvrage qui l’a inspiré, La mer de la fertilité 1 - Neiges de printemps, du célèbre Yukio MISHIMA !

Si complexe qu’apparaisse l’essence de la traduction, si fouillé l’inventaire de ses procédés, on se trouve ramené à des conclusions peu nombreuses, qu’en un autre sens du mot le titre ci-dessus a voulu traduire.

Impossible, à n’en pas douter, cette transmutation intégrale et intègre d’une langue en un autre langage. On le savait déjà, et cela se prouve tout autant en trois mots : Mettons « Do sit down » et « Veuillez vous asseoir ». Exprimant une idée des plus quotidiennes, il s’en faut que ces deux énoncés le disent de manière identique, que l’on considère la quantité, la syntaxe, la tonalité (tant soit peu incisive en Anglais, même atténuée par l’inflexion) ou les sonorités.
Or, il faut traduire et même, on le voit souvent, retraduire. Non seulement c’est là une nécessité du commerce, mais tout comme le soldat faisant son école dans la cour du quartier tire son sens de l’épreuve de feu, les savantes recherches sur l’impossibilité de traduire se déduisent de « l’activité traduisante » elle-même.
La retraduction majore à l’infini ce coefficient d’impossibilité inhérent au sujet, en introduisant dans l’équation une inconnue dont on sait, d’avance, qu’elle n’admet aucune solution !

Si l’on disposait d’un What’s What des Lettres, on saurait, sans aucun doute, que le mot « Retraduction » revendique de glorieux antécédents, dont la Bible est, de loin, le plus répandu. La plupart de ses traductions, en plus d’un millier de langues, furent faites à partir de traductions ou retraductions antérieures, en Hébreu ou Grec !
Les infidélités des retraductions proviennent surtout du fait que leurs auteurs se voient interdire un domaine où ont accès, à la seule limite de leurs propres capacités, les traducteurs en première main.
De même qu’en vue d’obtenir des variétés nouvelles, le botaniste ente un greffon sur le sujet, le traducteur greffe un nouveau langage sur la pensée de l’auteur. D’abord, saisir cette pensée sous l’habillage des mots, puis en métamorphoser la vêture, telles sont ses deux démarches convergentes.

Du premier point de vue, la retraduction jouit, si j’ose dire, du privilège d’irresponsabilité. Si la pensée de l’écrivain se dérobe parfois, peut-être dissimulée sous la beauté formelle (sans parler des écrits hermétiques), cet obstacle doit être surmonté (plutôt que contourné) par le traducteur de premier rang. C’est à lui qu’il incombe de choisir entre les significations possibles. On ne saurait tolérer que des obscurités retrouvent une place factice au soleil de la traduction.

La distinction entre la partie technique (le contenu) et la partie littéraire (le contenant), reste vraie – plus ou moins – (la coupure entre les deux parties n’est pas aussi nette) comme tout ce qui se rapporte à ce genre semé d’approximations et de repentirs. De nos jours, en termes rajeunis, un linguiste américain, E. A. Nida, ne dit pas autre chose : « La traduction consiste à produire, dans la langue d’arrivée, l’équivalent naturel le plus proche du message de la langue de départ, d’abord quant à sa signification, puis quant au style. »
Usant d’un tour plus familier, je dirais que traduire exige savoir et savoir-faire.

Le contenu technique remplit à satiété, par définition, les textes scientifiques. Dans ces productions proliférantes, – hormis chez quelques savants ou chercheurs soucieux de la littérature, et dont la race se raréfie au point de paraître en voie d’extinction – c’est l’objet de l’expérience ou de l’enquête qui importe sur la dénotation linguistique. Dès lors, rien ne s’oppose à ce qu’un texte technique soit traduisible et retraduisible à souhait.
En revanche, pour indispensable que soit en littérature l’exploration du champ sémantique, celle-ci ne saurait suffire. Matière vivante, les mots ne viennent pas au monde par génération spontanée, pour vivre en solitaires et mourir intestats. Tout énoncé littéraire existe en situation (in situ), cerné par un vaste horizon où les mots sont indissociables de ce qui les encadre et sous-tend leur emploi.
De là, leur agencement dans la phrase (dû, partie à la syntaxe, partie au vouloir dire ou au vouloir faire de l’écrivain), nourri d’aliments subtils : rythmes, timbres, correspondances, échos sonores ou feutrés, tonalité d’ensemble – les bémols et les dièses de l’armure – en un mot, l’âme du langage.

La teneur en âme du minerai littéraire varie du tout au tout selon le gisement. Au point qu’exceptionnellement, certains filons techniques en sont moins dépourvus que tels ouvrages où ruisselle l’amour-propre de l’auteur. N’empêche. Ce qui distingue essentiellement les textes techniques, c’est qu’ils sont des corps sans âmes. Tandis que sur la rive opposée, erre l’âme de la poésie, en quête de son corps. Dans l’entre-deux, dans le lit du fleuve, tous les hybrides ou métissages imaginables.

A ces impondérables de l’écriture, s’ajoutent enfin la « couleur locale » comme naguère on se contentait de dire, les « connotations » comme on dit aujourd’hui : ethnographie, culture, us et coutumes du milieu.
Dans leur Stylistique comparée du Français et de l’Anglais, deux universitaires, Vinay et Darbelnet, en donnent un exemple. Soit à traduire : « Sitôt rendu, le jeune homme courut embrasser son père ». Enoncé banal qui, cependant, dissimule un piège ; pour la raison qu’en Angleterre, un jeune homme n’embrasse pas son père comme cela se fait en France ; ils se serrent la main. Judicieusement, les auteurs du manuel proposent de remplacer « to kiss » par « to greet », généralité qui exprime une courtoisie déférente. Quelle différence pourtant !

Supposons qu’un retraducteur travaillant sur l’Anglais ait à dire la même chose dans un tiers langage. Le modèle ne peut lui suggérer d’utiliser un terme qui signifierait « embrasser » (on y verrait, à juste titre car passage par le sens second, une surtraduction), même si, dans le pays où l’on parle cette troisième langue, l’usage l’y autorisait. Il choisira sans doute un équivalent de « greet = saluer », consacrant ainsi un faux sens.

Traître, dit l’Italien (traduttore, traditore), le traducteur de première main l’est incontestablement, peu ou prou. Familier du lexique de la langue étrangère, de sa syntaxe, il l’est moins des harmoniques ou des dissonances de la langue parlée. Par exemple encore, « Happy ? » en Anglais veut dire dans le langage parlé « Ça va ? » et non « Heureux ? ». C’est ce que Saussure, père de la linguistique moderne, tente d’expliquer : « Le signe linguistique unit non pas une chose et un nom, mais un concept et une image acoustique ».
Tout autre est le sort du retraducteur qui pourrait se trouver des circonstances atténuantes à cause des écueils multipliés. N’empêche. La double traduction fait de lui un double traître. Alors que son ignorance du texte authentique le rend inapte à sonder l’âme de l’écriture, il perpètre dans l’ombre un double crime dont les détails d’accomplissement lui échappent.
Il doit, sans recours possible, emboîter le pas au traducteur de première main, renchérissant ses erreurs, tout en commettant les siennes. Voilà la double-traîtrise. Nous avons déjà démontré comment traduire est impossible, surtout dans le cas littéraire, car aucun traducteur ne peut vraiment saisir l’âme de l’auteur. Personne ne le peut, sauf l’auteur lui-même. Une impossibilité donc ! Or le commerce nous exige des traductions voire des retraductions pour rendre au plus grand nombre le sens de certaines mines d’informations ou d’érudition.

On ne saurait contourner l’impossibilité nécessaire. Il faut juste agir avec probité et conscience. En outre, il faut reconnaître qu’on ne peut rendre dans une autre langue ce qui ne vous appartient pas. Ceci est encore plus difficile quand il s’agit déjà d’une première traduction.
Mais, avec la Bible, le texte le plus lu dans le monde, on a apparemment réussi ce tour de force. En définitive, il faut retenir que c’est l’objectif qui fait pardonner la traîtrise et la double-traîtrise respectivement du traducteur et du retraducteur. L’objectif de la Bible n’est pas de faire du commerce, mais plutôt de sauver des âmes, d’offrir le salut. C’est la seule condition pour rendre l’impossible possible : UN OBJECTIF NOBLE.

Voilà, chers amis lecteurs, la substance de ce partage que je tenais à faire avec vous en appelant le Bateleur, celui dont le Cœur a été à deux reprises saigné, par trois dagues différentes, lui LAISSANT SIX STIGMATES INDELEBILES ! N’oublions jamais que ce qui compte, c’est l’objectif poursuivi dans cette action. Qu’il soit noble et vous serez absout de votre traîtrise ou de votre double-traîtrise.

Par ROCK MAXIME YEYE-DELAGARDE, le Bateleur !

www.24haubenin.bj ; L'information en temps réel

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