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TOP SECRET : Les actions du gouvernement Obama à l’égard de l’Afrique subsaharienne




La nouvelle Stratégie des États-Unis envers l’Afrique subsaharienne, qui découle d’une directive présidentielle de politique générale, fait fond sur les nombreux succès de la politique africaine des États-Unis en vue de renforcer les institutions démocratiques, de promouvoir la paix et la sécurité régionales, de mobiliser les jeunes leaders africains et d’encourager le développement, les échanges et les investissements. Certains de ces succès sont détaillés ci-après :

• Des jeunes leaders africains engagés qui donneront forme à l’avenir du continent. Nous avons approfondi notre engagement avec la prochaine génération des leaders de l’Afrique par le biais de l’Initiative du président en faveur des jeunes leaders africains, le programme à long terme du gouvernement Obama visant à nouer des contacts étroits avec les leaders qui s’emploient activement à promouvoir un changement positif dans leurs communautés. Cet engagement a vu le jour au moment du Forum du président avec les jeunes leaders africains, en 2010. Le Forum des jeunes Africaines leaders, dont la Première Dame a eu l’initiative, s’est tenu en Afrique du Sud en juin 2011 et, en juin 2012, le département d’État a parrainé un Sommet sur l’innovation et un partenariat de mentorat qui met les jeunes leaders africains en rapport avec des mentors aux États-Unis. L’Initiative du président en faveur des jeunes leaders africains, qui cherche à fournir à ces derniers des outils à l’appui du développement du leadership et de la promotion de l’entrepreneuriat ainsi qu’à les aider à nouer des contacts entre eux et avec les États-Unis, a à ce jour proposé plus de 2.000 programmes pour les jeunes leaders africains issus de toute l’Afrique subsaharienne.
• Des institutions démocratiques renforcées. Les États-Unis se sont employés à renforcer les institutions démocratiques en Afrique subsaharienne par le biais d’un engagement diplomatique de haut niveau, de la construction des institutions et de programmes visant à développer la capacité des systèmes judiciaires, des assemblées législatives, des médias et de la société civile. Nous avons tenu les gouvernements responsables de leurs engagements envers les principes démocratiques et leurs obligations en vertu des normes des droits de l’homme universels, et nous avons protesté quand les processus démocratiques ont été détournés. Voici quelques-unes de nos démarches :
 Soutien de la démocratie en Côte d’Ivoire. Les États-Unis ont déployé beaucoup d’énergie pour résoudre la crise en Côte d’Ivoire et soutenir la démocratie. Immédiatement après la confirmation officielle du scrutin en décembre 2010, le président Obama a fait personnellement savoir à l’ancien président Laurent Gbagbo qu’il devait choisir entre la démission ou un isolement croissant. Quand ce dernier a refusé de démissionner, les États-Unis ont eu vite fait d’imposer des sanctions, à lui et à son entourage, et ils ont œuvré avec leurs alliés européens, par le biais des Nations unies, et avec des organisations africaines, dont la CEDEAO, de façon à faire pression sur Gbagbo et à appuyer un dénouement démocratique, en l’occurrence l’entrée en fonctions du dirigeant élu de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara. Le président Ouattara a été investi en mai 2011 et ultérieurement reçu à la Maison-Blanche par le président Obama, avec le chef d’État de deux autres démocraties africaines naissantes, le Niger et la Guinée, et d’une autre démocratie qui a beaucoup progressé, le Bénin. Les États-Unis continuent à collaborer étroitement avec le gouvernement de la Côte d’Ivoire et tous les Ivoiriens tandis que le pays œuvre en priorité pour la réconciliation, le redressement de l’économie et la réforme du secteur de la sécurité.
 Encouragement de la réforme au Kenya. Les États-Unis ont été l’un des chefs de file d’efforts internationaux à l’appui de l’ambitieux programme de réforme du Kenya élaboré dans la foulée de la violence postélectorale de 2007-08. Les relations du président avec le gouvernement et le peuple kényans, conjuguées à la visite du vice-président en 2010, ont contribué à la tenue d’un référendum national crédible en août 2010 et à l’adoption historique d’une nouvelle constitution. Les États-Unis continuent de soutenir les actions en faveur de l’approfondissement des réformes et de la promotion de la justice et de la réconciliation.
 Lancement du Partenariat pour un gouvernement ouvert. Nous avons lancé ce partenariat en 2011, avec la forte participation de gouvernements africains et d’organisations africaines de la société civile, en vue de promouvoir la transparence et la responsabilité dans les administrations du monde entier. L’Afrique du Sud en est un membre fondateur ; le Ghana, le Libéria, la Tanzanie et le Kenya s’y sont également associés.
• Consolidation de la paix et de la sécurité. Au cours de l’année budgétaire 2011, les États-Unis ont fourni une assistance à hauteur de 262 millions de dollars en vue de rehausser le professionnalisme des armées africaines et de faire en sorte qu’elles soient davantage en mesure de relever les défis, par exemple en matière de maintien de la paix, de sécurité maritime et de lutte contre le terrorisme. En outre, les États-Unis ont fourni, et ils continuent de le faire, un appui considérable aux opérations de maintien de la paix sur le continent, y compris à la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), la Mission des Nations unies au Soudan du Sud (MINUSS) et la Mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM). Par le biais de notre Plan d’action national sur les femmes, la paix et la sécurité, nous continuons à faire avancer les efforts visant à renforcer la participation des femmes à la consolidation de la paix et à protéger les femmes contre la violence sexuelle et liée au genre dans les conflits. Voici des exemples d’actions prises par les États-Unis à l’appui de la paix et de la sécurité :
 Promotion de la paix au Soudan. Le gouvernement Obama a fait fond sur le leadership international des États-Unis pour dégager un accord, l’Accord de paix global (CPA) conclu en 2005, qui a mis fin à des dizaines d’années de luttes intestines, et pour mobiliser le soutien de la communauté internationale à son application. Sous l’égide du président, les États-Unis ont lancé un effort multilatéral intense pour maintenir les parties sur la voie de la paix, ce qui a débouché sur la tenue d’un référendum, pacifique et à la date prévue, sur la sécession du Sud et la naissance de la plus jeune nation du monde, la République du Soudan du Sud. En décembre 2011, les États-Unis ont été l’hôte d’une conférence internationale qui avait pour but de rallier un soutien aux plans de développement du Soudan du Sud et de faire venir des investissements. Les États-Unis demeurent pleinement engagés pour aider le Soudan et le Soudan du Sud à parvenir à un accord définitif sur les questions post-CPA qui restent à régler afin que soit réalisée la vision internationale de deux pays qui vivent en paix l’un à côté de l’autre.
 Appui des efforts régionaux pour aider les communautés affectées par l’Armée de résistance du Seigneur (LRA). Les États-Unis continuent de poursuivre une stratégie de grande envergure, en partenariat avec l’Union africaine et les Nations unies, pour soutenir les gouvernements et la population de l’Afrique centrale qui s’efforcent d’éliminer la menace posée par la LRA et de remédier aux conséquences des atrocités qu’elle commet. Les États-Unis s’emploient notamment à protéger les populations locales, à promouvoir les défections dans les rangs de la LRA et à mettre des effectifs militaires limités en place qui ont pour mission de conseiller les armées nationales de la région à la trousse des hauts commandants de l’Armée de résistance du Seigneur. En outre, les États-Unis financent des programmes destinés à aider les communautés affectées à appliquer des stratégies capables de répondre à leurs besoins en matière de sécurité et de faciliter les contacts entre elles par le recours aux technologies de communication.
 Renforcement des efforts de l’AMISOM visant à restaurer la stabilité en Somalie. Les États-Unis soutiennent fermement l’AMISOM, assurant une formation à ses forces dont ils ont appuyé l’élargissement, avec des effectifs qui sont passés de 12.000 à 17.331, compte tenu des succès qu’elle a remportés contre les shebab. À mesure qu’elle continue d’élargir le champ d’action du gouvernement fédéral de transition, les États-Unis sont déterminés à aider l’AMISOM à relever les défis opérationnels, sécuritaires et humanitaires en constante évolution auxquels elle fait face tandis qu’elle cherche a instaurer une paix et une stabilité durables en Somalie.
• Investissement dans le développement durable de l’Afrique. Les États-Unis investissent dans des partenariats de développement sur l’ensemble du continent africain pour accélérer une croissance économique durable, promouvoir la sécurité alimentaire, améliorer la capacité des pays et des communautés à faire face aux maladies et à reconstruire leurs systèmes de santé et à combattre les changements climatiques. Ces investissements dans un développement judicieux s’alignent sur les plans arrêtés par les pays eux-mêmes, incluent la société civile et le secteur privé et déploient stratégiquement notre financement au titre de l’assistance, et ce afin d’avoir un maximum d’efficacité. Voici des exemples d’investissements des États-Unis dans le développement durable :
 Lancement de l’initiative alimentaire pour l’avenir (« Feed the Future »). Ce programme appuie des approches d’initiative nationale visant à s’attaquer aux causes fondamentales de la faim et de la pauvreté. Par le biais de cette initiative présidentielle, les États-Unis investissent dans 12 pays africains cibles pour encourager une croissance solidaire induite par l’agriculture et qui porte sur l’amélioration de la productivité agricole, l’élargissement des marchés et des échanges et le renforcement de la résilience économique des collectivités rurales vulnérables. À l’appui du Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA) adopté par l’Afrique, les États-Unis s’efforcent de libérer le potentiel des petits cultivateurs, lesquels ont prouvé qu’ils étaient capables de produire des résultats à grande échelle. En 2012, les États-Unis ont amené le G8 à lancer la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition, un partenariat entre le G8, des gouvernements africains, l’Union africaine, des partenaires internationaux, des investisseurs privés et la société civile qui a pour but d’accélérer considérablement la croissance agricole sur tout le continent et d’aider plus de 50 millions de personnes à sortir de la pauvreté au cours des dix prochaines années.
 Lancement de l’initiative en faveur de la santé mondiale (GHI, Global Health InitiativeI). Cette initiative renforce les programmes de santé du gouvernement américain en faveur de l’étranger et s’appuie sur eux pour créer des systèmes de santé intégrés, coordonnés et durables avec nos pays partenaires. La majorité des investissements des États-Unis dans la lutte contre le VIH/sida et le paludisme, et pour l’amélioration de la santé maternelle et infantile, visent principalement l’Afrique. Le Plan présidentiel d’aide d’urgence à la lutte contre le sida (PEPFAR), qui est le fer de lance des efforts de prévention et de traitement touchant plus de 3,8 millions d’Africains, a considérablement réduit les cas d’infection par le VIH et amélioré l’espérance de vie sur tout le continent. D’ici à la fin de l’année 2013, il permettra de traiter plus de 6 millions de personnes. Quant aux efforts des États-Unis dans la lutte contre le paludisme et pour la survie des enfants (parmi lesquels figurent les investissements dans l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination — GAVI), ils contribuent au recul historique de la mortalité infantile observé au Sénégal, au Rwanda, au Kenya et dans d’autres États africains.
 Lancement de l’Initiative mondiale de lutte contre les changements climatiques (Global Climate Change Initiative - GCCI). Par le biais de la GCCI, nous aidons les pays africains à devenir plus aptes à faire face aux événements climatiques extrêmes, à réduire le déboisement dans le Bassin du Congo et ailleurs sur le continent et à mettre au point des systèmes énergétiques propres et abordables.
 Lancement du Partenariat pour la croissance (Partnership for Growth - PFG). Le PFG met en pratique les principes énoncés par le Président dans sa Directive sur la politique de développement mondial, en haussant l’importance de la croissance économique durable et à vaste assise, en transformant notre partenariat avec les pays qui font preuve de leadership et qui sont déterminés à progresser dans la voie du développement, et en investissant dans la prochaine génération de marchés émergents. Deux des quatre pays sélectionnés pour être inclus dans le PFG - le Ghana et la Tanzanie - se trouvent en Afrique.
 Promotion de la croissance économique par le biais de la Société du compte du millénaire. Depuis son entrée en fonction, le gouvernement Obama a signé des accords pluriannuels avec cinq pays subsahariens, pour un total de plus de 1,3 milliard de dollars en investissements qui visent à réduire la pauvreté en encourageant la croissance économique.
 Réponse aux crises et aux catastrophes humanitaires. Au cours de l’année fiscale 2011, les États-Unis ont fourni plus de 2 milliards de dollars en aide humanitaire pour répondre aux besoins créés par l’insécurité et les crises alimentaires ainsi que par des catastrophes d’origine naturelle ou humaine en Afrique. Pour contribuer à briser le cycle de la famine et des conséquences de la sécheresse, notamment suite à la crise de 2011 dans la Corne de l’Afrique, le gouvernement des États-Unis, l’Autorité intergouvernementale pour le développement et la communauté internationale du développement œuvrent en partenaires afin d’améliorer la préparation des pays à la sécheresse, d’accroître leur résilience et de promouvoir les solutions à long terme.
• Encouragement du commerce et des investissements : L’Export-Import Bank des États-Unis (Ex-Im Bank) a approuvé, pour la première fois de son histoire, des projets à hauteur de plus de 1 milliard de dollars en 2011 qui soutiennent les exportations vers l’Afrique subsaharienne de produits fabriqués par des entreprises américaines. Deux des neuf pays désignés par l’Ex-Im Bank comme marchés stratégiques prioritaires pour les produits américains - l’Afrique du Sud et le Nigéria - se trouvent en Afrique subsaharienne. Au cours de l’année fiscale 2011, l’Overseas Private Investment Corporation (Société de promotion des investissements privés à l’étranger - OPIC) a appuyé plus de 1 milliard de dollars en investissements par le secteur privé en Afrique subsaharienne, soit plus du tiers de l’ensemble de ses engagements durant la même période. L’OPIC a en outre approuvé 367 millions de dollars en faveur de quatre fonds de placements privés aptes à mobiliser 1 milliard de dollars de plus en investissements faits dans les secteurs de la santé, de l’agriculture et des petites et moyennes entreprises. Parmi les exemples d’efforts déployés pour promouvoir le commerce et les investissements en Afrique subsaharienne, on note :
 La Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA). Le président Obama a désigné 40 pays subsahariens comme étant admissibles aux avantages accordés par l’AGOA en 2012.
 L’engagement renforcé au niveau du commerce et des investissements à travers toute l’Afrique subsaharienne. Les États-Unis ont actuellement en vigueur des Accords-cadres sur le commerce et les investissements (TIFA) avec 11 pays ou communautés économiques régionales d’Afrique subsaharienne : Afrique du Sud, Angola, Ghana, Libéria, Maurice, Mozambique, Nigéria, Rwanda, le Marché commun d’Afrique orientale et australe (COMESA), la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE) et l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Ces accords offrent un cadre stratégique et énoncent les principes du dialogue sur les dossiers liés au commerce et aux investissements. En outre, le gouvernement Obama emploie des traités bilatéraux d’investissements (BIT) comme l’un des nombreux mécanismes mis en œuvre pour aider les pays africains acquis aux réformes.
 Le Partenariat pour le commerce et les investissements avec la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE). Lors du Forum de l’AGOA tenu en juin 2011 à Lusaka, en Zambie, les États-Unis ont proposé un nouveau partenariat avec la CAE dans le cadre duquel seraient envisagés un traité sur les investissements dans la région, la création d’accords visant à renforcer les échanges commerciaux notamment en matière de facilitation du commerce et le développement d’un engagement commercial plus solide.
 La mise en œuvre de nouvelles initiatives américaines visant à accroître les possibilités pour le commerce et les investissements dans les pays les moins avancé d’Afrique subsaharienne. En décembre 2011, les États-Unis ont annoncé qu’ils avaient adopté des mesures visant à aider les pays les moins avancés (PMA) membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), dont un certain nombre se trouvent en Afrique subsaharienne, à tirer plus pleinement parti des avantages du commerce mondial. Les États-Unis utiliseront un mécanisme de garantie de l’Autorité de crédit au développement (ACD) et des partenariats public-privé pour amener les créanciers privés détenteurs de dette à placer des capitaux dans des fonds d’investissements et des organisations qui feront des placements en titres de créance et en actions dans des petites et moyennes entreprises appartenant à la chaîne de valeur agricole en Afrique de l’Ouest. En juin 2011, les États-Unis ont annoncé le lancement de l’Initiative pour l’Accroissement de la compétitivité et du commerce africains (ACTE). Le nouveau programme fournira jusqu’à 120 millions de dollars sur quatre ans pour améliorer la capacité de l’Afrique à produire et à exporter des marchandises à valeur ajoutée et concurrentielle, notamment ces biens qui bénéficient de l’entrée hors douane sur le marché américain grâce à l’AGOA, et pour remédier aux contraintes qui pèsent sur l’offre et entravent le commerce africain. Enfin, depuis le lancement de l’initiative Aide au commerce, les États-Unis ont fourni plus de 9 millions de dollars en aide visant à soutenir l’adhésion des PMA à l’OMC.

www.24haubenin.bj ; L'information en temps réel

11 juillet 2012 par Nouvel auteur




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