Au Bénin, l’avortement clandestin ou à risque chez les jeunes semble être entretenu au lieu d’être combattu. La poursuite judiciaire de celles qui le pratiquent et de leurs complices renvoie davantage la pratique dans la clandestinité, ce qui la rend encore plus dangereuse. Le constat fait dans certains centres de santé et ménages est ahurissant.
Mardi 11 avril 2017, peu après 13 à Hlacomey à Akpakpa (3ème arrondissement de Cotonou). Doukpè, une élève de 15 ans a été admise en (…)
Lire l'intégralité de l'article
www.24haubenin.info ; L'information en temps réel
22 novembre 2018 par La Rédaction