(Par Roger Gbégnonvi)
Munies de leur licence et de leur master, nos filles (mais aussi nos garçons) vont en quête d’un emploi. Courageuses, elles enfilent les stages non payés. Pressées par l’horloge biologique et par leur mère qui veut porter au dos ses petits-enfants, elles accouchent deux fois en attendant l’emploi. Ce faisant, elles honorent un des péchés rédhibitoires de tout Béninois et qui s’appelle procréation quantitative à tout prix. En général, nous fonctionnons ainsi, au (…)
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24 novembre 2018 par Judicaël ZOHOUN