(Par Roger Gbégnonvi)
Voilà trois noms, trois présidents, réceptacles et victimes, à leur corps défendant, de la méchanceté rance et rampante que cultivent les Béninois et qui ankylose tout le corps social en empêchant toute élévation du pays, prisonnier d’une lancinante force d’inertie.
Après avoir mis le Dahomey à terre, les militaires, de guerre lasse, en confièrent la direction à Zinsou : ‘‘Les périls sont grands qui menacent notre pays puisqu’il s’agit de son existence même en tant (…)
Lire l'intégralité de l'article
www.24haubenin.info ; L'information en temps réel
6 juillet 2019 par Judicaël ZOHOUN