Dans son discours d’ouverture de la première session ordinaire de l’année 2017 ce lundi 10 avril, le président de l’Assemblée nationale constate avec grand remord et s’étonne de la « résistance » de la constitution du 11 décembre 1990, qu’il qualifie de « fétiche », à toute tentative de révision.
« Nous devons tirer la leçon que le peuple béninois demeure attaché à la Constitution du 11 décembre 1990 : un attachement émotionnel qui frise le fétichisme, qui frappe de suspicion toute (...)
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10 avril 2017 par Judicaël ZOHOUN