(Par Roger Gbégnonvi)
Hier les belles âmes du Bénin ont fustigé la décision de libérer les espaces publics de leurs installations anarchiques et illégales. Aujourd’hui elles sont effarouchées que l’on demande aux mendiants de ne pas s’étaler sur les bords des voies. Hier et aujourd’hui, elles ont un alibi : ‘‘Sans mesure d’accompagnement social ?’’ De crier haro sur le baudet gouvernemental ne nous exonère pourtant pas d’avoir contribué à transformer le Bénin en zone de nœuds de vipères (...)
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21 août 2017 par Judicaël ZOHOUN