(Par Roger Gbégnonvi)
Samedi après-midi. Dans cette cité couverte de temples vodous et parsemée de buvettes. Dans l’une de celles-ci, des fonctionnaires, attablés ou accoudés au comptoir, sont occupés à vider bouteilles et canettes de bière, tout en ressassant la rengaine de ‘‘L’Afrique si riche et si pauvre’’. Venant du comptoir, une question fuse, inattendue, sans lien apparent avec richesse ni pauvreté : ‘‘Eh ! vous tous-là, pourquoi nos ateliers, nos salons de coiffure, nos (...)
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11 novembre 2017 par Judicaël ZOHOUN