Savalou transcenda donc sa partition culturelle et ethnique est-ouest pour faire chorus derrière le candidat Yayi. La volonté d’un choix unique était si perceptible au sein de la commune que les représentants des autres candidats à cette élection présidentielle étaient obligés, pour la plupart, d’établir derrière le rideau des divergences politiques, de discrètes passerelles avec ceux qui faisaient figures de lieutenants du cheval gagnant qu’était devenu Yayi.
Mais, dans ce Savalou qui (...)
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12 mai 2018 par Judicaël ZOHOUN