(Par Roger Gbégnonvi)
L’homme autorise le sacré. « Est Vodun ce que l’homme déclare Vodun. » L’homme instaure le sacré comme phare au-dessus de l’océan, pour guider les navires, leur montrer la direction afin que soit sans encombre la traversée de la mer agitée. Comme fétiche tutélaire à l’entrée du village, pour éclairer le voyageur sur les chemins nouveaux du voyage. Telle se veut aussi la Constitution en démocratie, elle se veut lampe inamovible sur le lampadaire.
Révisera-t-on un (...)
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9 novembre 2019 par Judicaël ZOHOUN