(Par Roger Gbégnonvi)
Depuis longtemps à la retraite, il n’a pas entrepris d’écrire ses mémoires, mais, par bribes accumulées, au hasard des visites et des conversations arrosées, il fait le récit de sa vie. Voici comment il entra dans le corps de métier dont il est devenu une figure respectée.
Avec l’ensemble de mes compatriotes, j’ai été jeté à la porte de la Côte d’Ivoire en 1958. J’y étais moniteur à l’école primaire catholique de Bingerville. J’aimais mon métier. Revenu au (...)
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18 janvier 2020 par Judicaël ZOHOUN