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De quelles marges de manoeuvres Boni Yayi dispose face au bourbier centrafricain ?




Le Président Boni Yayi , Président en exercice de l’Union africaine séjourne depuis quelques heures en République Centrafricaine pour tenter d’instaurer un dialogue politique dans ce pays en proie à une rébellion armée. Compte tenu des exigences de l’opposition et en cherchant à savoir pour qui roule la coalition Seleka, on peut affirmer sans se tromper que la mission de sauvetage qu’entreprend le Chef de l’Etat Béninois parait très difficile .....La Centrafrique est un vrai bourbier

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POUR QUI ROULE LE SELEKA ?

Coiffée par une structure composite dans laquelle siègent des mouvements rebelles venus d’horizons différents, la coalition anti-Bozizé pourrait, en cas de victoire, bien vite se retrouver face à ses propres divisions et les ambitions personnelles de ses propres leaders.

Par Francis Kpatinde,

Qui, donc, se cache derrière l’appellation générique Seleka (coalition, en sango, la langue usuelle en République centrafricaine) ? Il s’agit d’une coalition de factions rebelles dissidentes issues de plusieurs mouvements politico-militaires connus et de groupes de création plus récente. Ils ont désormais pour objectif commun la chute du président centrafricain, François Bozizé, à qui ils reprochent de n’avoir pas tenu les engagements découlant des accords de paix signés en 2007.

Au registre des mouvements coutumiers de la lutte armée, on peut mentionner la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP), l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR), le Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC). A ces trois-là sont venues s’ajouter, au sein de la Seleka (créée de fraîche date), deux organisations jusque-là inconnues du grand public : la Convention patriotique du salut du kodro (CPSK, kodro signifiant pays, en sango), et l’Alliance pour la renaissance et la refondation (A2R), une structure jusque-là discrète, pour ne pas dire clandestine, regroupant des officiers hostiles au régime et qui ont, semble-t-il, attendu « le bon moment » pour apparaître au grand jour. « Il y a encore quelques semaines, on ignorait tout de la Seleka, voire de certains mouvements qui la composent », confirme un ancien Premier ministre joint au téléphone à Bangui.

L’héritage de Charles Massi

Créée à la fin de l’année 2008, la CPJP est présidée, dans sa déclinaison Seleka, par le général Noureddine Adam. Le mouvement opérait pour l’essentiel dans le Nord-Est. Son aile politique était dirigée par le médecin militaire Charles Massi, plusieurs fois ministre, mort probablement sous la torture en janvier 2010, quelques semaines après avoir été arrêté à la frontière avec le Tchad et livré aux autorités centrafricaines. Son fils Eric Neris Massi fait office, depuis Paris où vit ce féru d’informatique et de réseaux sociaux, de porte-parole et coordonnateur international de la Seleka.

Aux côtés de la CPJP, on retrouve, toujours au sein de la Seleka, le FDPC, du très controversé chef de guerre Martin Koumtamadji, plus connu sous son nom d’emprunt, Abdoulaye Miskine. Ce proche de l’ancien président Ange-Félix Patassé qui s’était rapproché ces dernières années de Bozizé a, semble-t-il, hésité avant de rallier la Seleka, le 21 décembre dernier, à en croire Eric Neris Massi, et de jeter ses hommes dans la bataille en direction de la capitale, Bangui. Le FDPC s’est fait connaître à la fin de l’année 2008 et début 2009 en lançant des attaques meurtrières contre les Forces armées centrafricaines (FACA), de concert avec un autre mouvement armé.

Autre vétéran figurant en bonne place au sein de la Seleka : Michel Am Nondroko Djotodia, le leader de l’UFDR, ancien fonctionnaire du ministère du Plan, puis des Affaires étrangères, et ex-consul à Nyala, capitale du Sud-Darfour au Soudan. Créée en septembre 2006, l’UFDR opérait essentiellement, avant la dernière offensive vers Bangui, dans les préfectures arabophones de Vagata et Haute Kotto, dans le Nord-Est. Son commandement opérationnel était assuré par le capitaine Yao, de son vrai nom Dramane Zacharia, aujourd’hui brouillé avec son patron.

On retrouve dans l’UFDR certains des hommes qui ont aidé François Bozizé à renverser Ange-Félix Patassé en 2003, mais que les promesses non tenues du pouvoir et le non-respect des accords de paix de 2007 ont mécontentés.

Général en un jour

A l’intérieur de la Seleka, deux mouvements de création récente viennent compléter le tableau. Le premier, dénommé la Convention patriotique du salut du kodro (CPSK), a été officiellement lancé au terme d’une « Assemblée constituante » qui s’est tenue les 20 et 21 juin 2012 dans un lieu non précisé. Son fondateur, Mohamed-Moussa Dhaffane, en est devenu le président, avant d’être aussitôt bombardé, peut-on lire dans le communiqué final, « à titre exceptionnel et honorifique au grade hors hiérarchie de général major assimilé des Forces armées ». Dhaffane assura, en d’autres temps, les fonctions de président ad hoc de la Croix-Rouge centrafricaine, tout en étant membre de la CPJP, qu’il quitta pour créer son propre mouvement. Pour le coup, ce général autoproclamé se retrouve au sein de la Seleka avec de vrais officiers de la FACA regroupés, eux, dans l’A2R, une structure clandestine dont l’adhésion à la coalition date seulement de la fin décembre 2012.

Voilà pour le tableau de bord. Reste à piloter l’ensemble en ménageant la susceptibilité et la spécificité des uns et des autres. Comment instaurer un minimum d’harmonie dans une structure dont les composantes viennent d’horizons aussi différents ? Comment contenir les ambitions de leaders nourrissant de longue date, pour certains, l’ambition de devenir calife à la place du calife ? Et comment éviter que, demain, la victoire contre l’ennemi commun ne tourne au règlement de comptes ? La « Seleka est une coalition hétéroclite de factions rebelles dissidentes qui écument l’arrière-pays depuis quelques années déjà, souligne un membre de la diaspora centrafricaine en France, Alain Lamessi, dans une tribune libre publiée sur Centrafrique-Presse. Il faut avoir lu la déclaration de sortie de crise […] pour se rendre compte à quel point leur plateforme revendicative reste pour le moins catégorielle. Pas de ligne politique conceptualisée, ni structurée, pas d’idéologie claire et cohérente, pas de revendications précises. Tout cela finit par convaincre que la Seleka, dans sa forme actuelle, n’est pas et ne peut pas être une alternance crédible au régime de Bozizé. »

Des événements « prévisibles »

L’ancien Premier ministre cité plus haut nuance : « Il est possible que la Seleka ne soit pas à la hauteur des espoirs qu’elle suscite depuis quelques jours, mais la faute en revient à Bozizé. Ce qui arrive était prévisible. Il a fait mille promesses qu’il n’a jamais tenues. Au contraire, il s’est employé à introduire le venin de la division dans nos rangs en essayant systématiquement de débaucher les responsables et cadres de l’opposition républicaine et des groupes armés. Il s’est fait réélire dans les conditions que tout un chacun connaît, a rempli le Parlement avec ses amis et des membres de sa famille, alors même que les manifestations de l’opposition étaient interdites, sinon violemment prises à partie par des nervis du régime. Lorsqu’on interdit toute expression démocratique, on ouvre la porte à l’aventure... »

Retour sur une expédition de trois semaines vers Bangui

Avec la chute sans résistance de Sibut, le 29 décembre, il ne reste plus que 150 km aux rebelles avant Bangui. Un verrou stratégique se dresse encore devant eux : Damara, tenue par les Forces régulières (Faca) et les hommes de la Force multinationale d’Afrique centrale (Fomac). Il aura fallu trois semaines aux rebelles de la Seleka pour y parvenir.

Francis Kpatindé


LA RÉBELLION VEUT RENTRER A BANGUI

Par RFI

Alors que le président de l’Union africaine, le Béninois Thomas Yayi Boni était à Bangui ce dimanche, les rebelles de la Seleka qui viennent d’investir Sibut au Nord, n’excluent plus de rentrer dans la capitale centrafricaine. De son côté, le gouvernement dénonce le double langage des rebelles. Ainsi, le ministre de l’Administration du territoire, Josué Binoua, soutient que la rébellion invente des prétextes pour poursuivre ses offensives. Un nouveau renfort de 180 militaires français vient d’arriver sur place.

Avec Francis Kpatinde

Le chef de l’Etat béninois, Thomas Yayi Boni, président en exercice de l’Union africaine, est arrivé en fin de matinée à Bangui, où régnait une vive tension, pour tenter de trouver une issue négociée à la crise centrafricaine. L’émissaire béninois arrive à un moment où les deux camps semblent plutôt décidés à en découdre. Selon une source proche de l’opposition, des partisans du président centrafricain, François Bozizé, et des soldats de la Garde présidentielle procèderaient depuis hier à des rafles. Principales cibles : des Banguissois appartenant à la communauté Goula, celle-là même qui forme l’ossature des troupes de la Seleka, la rébellion armée, qui, elle, exige désormais – ni plus ni moins – le départ de Bozizé, au pouvoir depuis 2003.

Le rapport des forces, sur le terrain, est, il est vrai, à l’avantage de la Seleka. Si le pouvoir contrôle encore la capitale et l’axe routier qui y conduit en provenance du Nord, la majeure partie du territoire est désormais aux mains de la coalition rebelle, dont le porte-parole international, Eric Neris Massi, alterne, avec une égale maîtrise, la rhétorique diplomatique et le discours de guerre.

Positionnés à quelques encablures de « Bangui, la coquette », les combattants de la Seleka paraissent plus motivés et, jusque-là, plus disciplinés que leurs adversaires qui battent en retraite et délaissent leurs positions devant la fulgurante avancée de l’ennemi. Par ailleurs, aussi bien dans le ton que dans les actes, la rébellion, condamnée à ses débuts, début décembre, semble bénéficier, à défaut d’un soutien public de la communauté internationale, de la neutralité bienveillante d’une partie des pays de la principale organisation régionale, la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC).

Dans ces conditions, la marge de manœuvre de Yayi Boni paraît ténue. Selon nos informations, dès sa descente d’avion, il a eu un huis-clos avec son homologue centrafricain dans les salons d’honneur de l’aéroport international Mpoko, sécurisé par les troupes françaises. Il s’est également entretenu avec des diplomates et devait faire une déclaration à la presse avant de retourner à Cotonou. Aucune rencontre n’était prévue avec les responsables de la Seleka, positionnée à Sibut, encore moins avec l’opposition démocratique. C’est, du moins, ce que nous ont confirmé au téléphone, l’ancien Premier ministre Martin Ziguélé, et Me Nicolas Tiangaye, ancien bâtonnier de l’ordre des avocats et actuel coordonnateur des neuf partis de l’opposition démocratique. « Nous n’avons pas été contactés par la président Yayi Boni », explique Me Tiangaye. Ce dernier confie par ailleurs être désormais, pour sa propre sécurité, « dans la clandestinité ».

Positions inconciliables

La capitale de la République centrafricaine, Bangui, est sous tension alors que les responsables de la rébellion Seleka font état de raids, ce matin, de la garde présidentielle dans des quartiers de la capitale où sont logées des familles de rebelles. Le porte-parole de la Seleka affirme que des enfants ont été molestés, des personnes âgées torturées. Eric Massi dénonce par ailleurs des distributions de fusils-mitrailleurs à des jeunes membres de comités de vigilance à Bangui.

Le gouvernement, de son côté dénonce un double langage des rebelles. Le ministre de l’Administration du territoire Josué Binoua, soutient que la rébellion invente des prétextes pour poursuivre ses offensives. Il estime que les rebelles ont manqué à leurs engagements et espère que l’Union africaine saura en tirer les conséquences aujourd’hui. La tâche de Yayi Boni semble particulièrement délicate dans ce contexte, tant les positions des parties au conflit semblent inconciliables. Le gouvernement estime qu’il est « irresponsable et indigne » d’évoquer le départ de François Bozizé.

Sur le terrain militaire quelle est la situation ?

Les rebelles sont positionnés à Sibut, à 160 kilomètres au nord de Bangui. La force multinationale d’Afrique centrale, la Fomac et les troupes gouvernementales sont repliées sur le même axe routier à Damara, à 65 kilomètres de la capitale. Damara est le dernier verrou stratégique sur la route de Bangui. Le commandant de la Fomac, le général Jean-Félix Agaka, a déclaré que ses forces ne reculeraient plus, et qu’elles répliqueraient à toute offensive rebelle. La rébellion Seleka s’est engagée de son côté à observer une trêve ce 30 décembre mais la situation est très évolutive en République centrafricaine.

Francis Kpatindé


LA REBELLION VEUT NEGOCIER LE DEPART DE BOZIZE AVEC l’UA

La coalition rebelle du Séléka a déclaré à l’AFP souhaiter que le départ du président centrafricain François Bozizé soit discuté dimanche avec le président de l’Union africaine (UA), le Béninois Yayi Boni, venu à Bangui pour tenter d’instaurer le dialogue.

La rébellion du Séléka a demandé dimanche le départ du président centrafricain François Bozizé et n’exclut plus de prendre Bangui où le président de l’Union Africaine Thomas Boni Yayi était attendu pour encourager un dialogue. De leur côté, les pays d’Afrique centrale ont averti qu’ils s’opposeraient à une avancée des rebelles sur la capitale dont ils ne sont plus qu’à 160 km.

"La question (du départ de François Bozizé) doit être discutée avec l’Union africaine", a déclaré à l’AFP le porte-parole de la coalition du Séléka Eric Massi, soulignant que le président Bozizé doit "reconnaître sa défaite militaire sur le terrain (...) et en tirer les conclusions".
Désormais en position de force, et très sceptique sur la volonté de Bozizé de respecter d’éventuels accords, selon M. Massi, le Séléka semble de moins en moins disposé au dialogue et n’exclut pas d’entrer dans Bangui. "Le président centrafricain François Bozizé a l’intention de livrer bataille à Bangui, et si la situation l’exige, nous prendrons des dispositions", a affirmé le porte-parole, se disant inquiet de la situation sécuritaire à Bangui pour les familles et proches du Séléka qui sont "harcelés, intimidés et même enlevés".
Installé dans la ville de Sibut, à 160 km au nord de Bangui, le Séléka n’a plus qu’à prendre la dernière localité verrou de Damara - où sont regroupées les Forces armées centrafricaines ainsi qu’un contingent d’interposition de l’armée tchadienne- s’il veut atteindre la capitale centrafricaine, à à peine 75 km de là.

Damara, "limite à ne pas franchir"

Il risque toutefois de trouver de se heurter à une résistance armée. Les forces de la CEEAC (présentes en Centrafrique) sont en état d’alerte maximale, et la ville de Damara constitue la limite à ne pas franchir. "Nous demandons aux FACA (les forces gouvernementales) et aux rebelles de ne pas dépasser leurs positions actuelles et de laisser une chance au dialogue", a déclaré à la radio nationale le chef de mission de la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale, Antonio Di Garcia.

"Nous voulons dire au nom de la communauté internationale aux FACA et aux rebelles notre étonnement devant leur entêtement. Et nous le disons en relation avec les décisions des chefs d’Etat", a-t-il souligné. Vendredi, alors que la CEEAC annonçait des négociations sans délai et sans conditions acceptées par toutes les parties, les combats reprenaient à Bambari, importante ville du centre, que les FACA ont tenté vainement de reconquérir.

Dans la même journée, le Séléka a pris la ville de Sibut sans combat, FACA et armée tchadienne s’étant repliées vers Damara. Le Séléka, qui a repris les armes le 10 décembre pour réclamer le respect de différents accords de paix signés entre 2007 et 2011, s’est assuré du controle de la majeure partie du territoire centrafricain à une vitesse fulgurante et sans rencontrer de véritable résistance.
Durant toute sa progression, la rébellion a affirmé être prête à la négociation. Elle réfutait jusqu’à présent vouloir marcher sur Bangui tout en continuant à conquérir de nouvelles villes.

Jeune Afrique.

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30 décembre 2012 par Paul Tonoukoun




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