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Des militantes marocaines de la société civile ont présenté, ce lundi 27 juin au 2022, au parlement européen à Bruxelles, la situation réelle des droits de l’homme dans les provinces du sud.
Suite aux allégations fallacieuses des séparatistes sur les provinces du sud du Royaume, les militantes de la société civile marocaine ont été invitées au Parlement européen à Bruxelles. « Nous sommes au parlement européen pour présenter la vraie réalité du terrain dans les provinces du sud, dont le quotidien est rythmé par un développement économique soutenu et des projets d’envergure », a déclaré un membre du bureau régional à Laâyoune du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH). Hanane Essalek soutient que « toute la population locale, femmes et jeunes en particulier, bénéficie de cette dynamique de développement dans une atmosphère de stabilité et de sécurité ».
Les militantes sahraouies ont démonté les contre-vérités des séparatistes à la solde de, des adversaires de l’intégrité territoriale du Royaume. « Nous vivons dans cette région, nous y appartenons et nous connaissons mieux que quiconque la situation des droits de l’homme », a ajouté Hanane Essalek. La militante a fait part de l’essor-économique dans les provinces du sud du Royaume. Et ce, à travers la mise en œuvre de plusieurs grands projets d’infrastructures et d’énergies renouvelables.
Mme Hanane Essalek a invité les députés à se rendre dans les provinces du sud du Royaume pour constater les progrès.
Des réalisations impressionnantes
« Le Maroc a engrangé des réalisations impressionnantes en matière de droits des femmes, qui sont présentes aujourd’hui dans différents domaines et au sein des institutions économiques, sociales et culturelles », a affirmé Maghlaha Dlimi, directrice du musée de la culture hassanie sahraouie à Dakhla.
Alors que dans les camps de Tindouf, poursuit-elle, les réfugiés sont privés de leurs droits les plus élémentaires, les provinces du sud du Royaume vivent au rythme d’un développement continu, où des projets gigantesques ont été lancés et où la population jouit de tous ses droits et profite des fruits du développement.
« Moi qui étais à Tindouf, avant de retourner à ma patrie, au Maroc, je sais à quel point les droits sont bafoués dans les camps », a soutenu la militante sahraouie. Maghlaha Dlimi appelle les députés à « entendre la voix de la population des provinces du sud ».
« Le Polisario ne nous représente pas. Les Sahraouis tiennent à leur marocanité, car nous sommes historiquement et géographiquement Marocains », a souligné la directrice du musée de la culture hassanie sahraouie à Dakhla.
Les populations sahraouies au sud du Maroc épousent la solution de l’autonomie sous souveraineté marocaine.