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Traçabilité du coton de la chaîne de production, des fibres jusqu’aux vêtements dans les usines de filature qui seront installées dans la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) au Bénin. C’est un nouveau programme d’Arise IPP et de FibreTrace.
Le développeur et opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale Arise IPP et le leader mondial de la technologie des fibres traçables, FibreTrace, s’associent pour un programme pilote de traçabilité du coton béninois. Plusieurs usines seront bientôt installées dans la Zone industrielle de Glo-Djigbé. Ce partenariat permettra « de tracer, de vérifier et d’auditer le cycle de vie de leurs vêtements, de la filature au magasin, et de partager l’ensemble du parcours du coton béninois de haute qualité avec le consommateur final ».
Il est prévu d’ici 2023 au Bénin, une capacité de traitement de la fibre de coton de 98 000 tonnes. Le programme débute en 2022.
« ARISE IIP sera désormais en mesure de garantir la durabilité du coton de haute qualité transformé sur ses plateformes industrielles à travers l’Afrique grâce à la technologie déployée par FibreTrace.
Sur l’ensemble de ses parcs industriels, ARISE IIP ambitionne de montrer la voie de la transformation durable des ressources locales, où chaque étape de la production est transparente au bénéfice des agriculteurs locaux et du consommateur final », a déclaré Gagan Gupta, Fondateur et PDG d’Arise IIP.
FibreTrace permet aux marques et aux fournisseurs de tracer et de vérifier les fibres textiles de la source au magasin, et au-delà. La technologie sera aussi déployée à grande échelle sur tous les sites et toutes les installations au Bénin et dans la sous-région. Selon Shannon Mercer, PDG de FibreTrace, il s’agit de la première étape pour rendre le coton cultivé en Afrique plus visible pour l’industrie textile mondiale.
Le partenariat poursuit-il, offre aux agriculteurs qui consacrent leurs terres et leurs moyens de subsistance à la culture de cette fibre, la possibilité de jouer un rôle plus important. « Nous attendons avec impatience le jour où les données sur l’impact primaire des agriculteurs africains seront combinées à la traçabilité pour mettre en évidence la contribution de l’Afrique à un avenir meilleur pour l’industrie textile », a-t-il ajouté.
A.A.A
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