Me Hélène Aholou Kèkè s’ouvre à ses collègues qui anime l’opposition parlementaire.Elle reconnait ses erreurs politiques et les justifie par la croyance à un système de gouvernance améliorée sur papier, et qui ne reflète en rien la réalité.

Et comme il n’est jamais trop tard pour mieux agir, elle demande aux citoyens embarqués dans cette aventure par sa personne de ne point lui en vouloir. Ce qui lui a valu des coups politiques qu’elle continue d’essuyer.

Les faits agités ça et là et l’irruption maladroite faite à son domicile participent de cette stratégies pour la noyer politiquement comme c’est le cas dans un passé récent pour son frère Noudogbèssi François dans le dossier Cen-sad et celui relatif à la construction du siège de l’Assemblée nationale. 

C’est de bonne guerre quand on sait l’éminent rôle joué par la dame à abattre aujourd’hui dans la conduite de certains dossiers durant la cinquième et au début de la sixième législature.
La peur bleue s’est emparée du chef et ses sujets. Une nouvelle situation qui fait courir Yayi Boni depuis ses faux bonds à la famille
Aholou Kèkè dans le dossier guichet unique au port autonome de Cotonou.

N.A