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Oui, Jo et Adri l’ont fait. Et la nouvelle mariée, ivre de bonheur, de s’exclamer : « si c’était si facile, d’autres l’auraient fait ! »... « Ah les femmes ! » Toujours prompte à régler des comptes ; à relever des mécomptes... Passons donc. L’essentiel, étant que le mariage, ou plutôt l’union-fusion, entre le baobab et le caméléon, a eu lieu. Tant pis, pour ceux qui croyaient avoir tout vu. Aux spécialistes de la faune et de la flore, d’aller revisiter leurs concepts. En attendant, notons qu’à l’Eglise Saint Charles de Porto-Novo, devant Dieu et devant les hommes, l’Union Progressiste (UP) et le Parti du Renouveau Démocratique (PRD), ont convolé en justes noces. On s’en fout des puristes ou des juristes, que le mot ‘’justes’’, pourraient faire tiquer...Vêtus de blancs et coiffés de jaunes, nos deux tourtereaux ont remplis les diverses obligations, qui conviennent en pareilles circonstances. Ils ont d’abord proclamé haut et fort, leurs principales options. Ce sera la communauté des biens, c’est à dire la fusion de leurs patrimoines juridiques et politiques. Le domicile des mariés, sera celui de... l’épouse à Porto-Novo. Ce qui n’empêche pas l’époux, de rester chef du foyer...Même si... (On y reviendra) Au diable, les mauvaises langues. Le Bienheureux Joseph d’époux du jour, de louer amoureusement, les vertus de son épouse. Celle-là même, qui à ses dires incarne, en chair et en os, notre Renouveau démocratique ; celle qui est joliment parée de la conscience de l’Etat ; de la défense des citoyens ! L’épouse, à l’instar de toutes les femmes, n’a point manqué d’insister de son côté, sur la fidélité de son époux. Ah oui, la fidélité. Les hommes, on les connait, et légitimement, ça craint. Surtout cette mariée du jour, qui en a vu d’autres. Chat ou chatte échaudée, (c’est selon) craint l’eau froide ! Témoins de l’heureux évènement, il ne nous reste qu’à souhaiter, tout le bonheur du monde, au jeune couple. Evidemment, unis pour le meilleur, mais aussi pour le pire, les mariés devraient d’abord, chercher au sein du foyer, les remèdes pour les inévitables moments d’orages. Ce n’est qu’en cas extrêmes, qu’ils devraient recourir, aux nombreux parrains du couple. L’époux quant à lui, (parole de Tafè) doit intelligemment prendre en compte, le fait qu’il habite chez la mariée. Et s’interdire alors en cas de ‘’palabres’’, des propos orduriers du genre, « prends tes bagages, et rentres chez tes parents ». Agabako ! Sinon, il y’aura un jour, du cinéma, et du vrai, dans l’enceinte, et devant l’ex ciné « IRE AKARI » de ‘’la ville aux trois noms’’. Avec des valises et costumes dans la rue. Trois diables ! Union de prière...
Tafè